Lyrics Bigflo & Oli – Un Freestyle Et Des Potes (J–10)
Text:
Vingt-deux ans, voilà mon troisième disque
Ouais, j’suis bon qu’à rapper, j’arrêterai peut-être ma carrière en même temps qu’Mbappé
En pleine tournée, personne pensait qu’on le ferait
Il est meilleur que celui d’avant mais logiquement moins bon que celui d’après
C’est toujours les mêmes, oui les deux frères aux instrus efficaces
Ramène ton exemplaire en concert et j’te le dédicace
S’il me reste encore des rêves ? Évidemment
Au fait, pour Noël, sur ma liste, j’ai mis disque de diamant
Souvent, j’suis dans ma bulle, j’veux vivre sans faire de faute
Je regarde pas le doigt quand on me montre la lune, moi, j’envie l’astronaute
Accro aux réseaux, dès le berceau c’est horrible
Génération on vit l’instant juste pour en faire une story
Oh merde ma musique bat des records
La télé, c’est comme la politique : y’a que les vieux qui y croient encore
Je garde espoir mais je veux pas faire ce qu’ils veulent
Je veux nous voir vivre ensemble juste avant de mourir seuls
J’ai écumé plein de scènes, épuisé plein de thèmes
Mais mon inspiration reste la même, j’ai de la magie de la vingtaine
En pleine tournée la voix cassée, sert une tasse de verveine
Et dans mes rêves j’arrête la balle entre Rimbaud et Verlaine
Mais quel constat dramatique
J’suis de cet ère où dans la mer, il y a moins de poissons que de plastique
En attendant les sentiments, on atrophie
Si dans mes textes je parle d’amour, ils diront que je fais un placement de produit
J’rappe, tes yeux s’écarquillent, tes angoisses s’éparpillent
L’hiver est là, je pense à ceux qui dorment sur une place de parking
Les cœurs portés disparus ont été volés par qui ?
J’rap comme si j’étais de retour, mais moi j’suis jamais parti
Non, non moi, j’suis jamais parti (Oli)
Ramène ton exemplaire en concert et j’te le dédicace
S’il me reste encore des rêves ? Évidemment
Au fait, pour Noël, sur ma liste, j’ai mis disque de diamant
Souvent, j’suis dans ma bulle, j’veux vivre sans faire de faute
Je regarde pas le doigt quand on me montre la lune, moi, j’envie l’astronaute
Accro aux réseaux, dès le berceau c’est horrible
Génération on vit l’instant juste pour en faire une story
Oh merde ma musique bat des records
La télé, c’est comme la politique : y’a que les vieux qui y croient encore
Je garde espoir mais je veux pas faire ce qu’ils veulent
Je veux nous voir vivre ensemble juste avant de mourir seuls
J’ai écumé plein de scènes, épuisé plein de thèmes
Mais mon inspiration reste la même, j’ai de la magie de la vingtaine
En pleine tournée la voix cassée, sert une tasse de verveine
Et dans mes rêves j’arrête la balle entre Rimbaud et Verlaine
Mais quel constat dramatique
J’suis de cet ère où dans la mer, il y a moins de poissons que de plastique
En attendant les sentiments, on atrophie
Si dans mes textes je parle d’amour, ils diront que je fais un placement de produit
J’rappe, tes yeux s’écarquillent, tes angoisses s’éparpillent
L’hiver est là, je pense à ceux qui dorment sur une place de parking
Les cœurs portés disparus ont été volés par qui ?
J’rap comme si j’étais de retour, mais moi j’suis jamais parti
Non, non moi, j’suis jamais parti (Oli)
Mets pas trop de sirop frère s’il te plait
Ouais voilà, comme ça
Sers-moi un coca-fraise, j’ai besoin d’être à l’aise
Avant de toucher le sol et de rejoindre le ciel
À quoi pense l’Homme qui vient de sauter de la falaise ?
Des fois, je voudrais m’indigner et puis j’suis aphone
On a de sales mentalités mais de très beaux iPhones
Donc prend un screenshot du monde et sa décadence
On dit que la roue tourne oui mais dans quel sens ?
Ils veulent la guerre, moi, je laisse brûler le torchon
Je prends l’avion et dans mon casque, y’a du Demi Portion
Celle-là c’est pour les anciens, que je respecte
Allume ton joint mais s’il te plait tonton, ouvre la fenêtre
On sanctifie les débiles, anime les débats stériles
Y’a pas longtemps j’ai dû annuler mes billets pour le Brésil
Parait que dans mon dos, ça l’ouvre
J’m’en bats les couilles, j’suis à Toulouse et je me la coule douce
Avec ma pote qui me dit que les mecs, c’est tous les mêmes
Avec mon pote qui me dit à quel point les filles le malmènent
Ah merde, hommes et femmes et leurs différences
En fait, faudrait peut-être que je les présente
L’album sort le 23 novembre
J’répète, l’album sort le 23 novembre
J’viens d’une autre planète, passe une fusée que je rentre
Celle-là c’est pour mon pote qui aime jamais quand je chante
Leur phases sont fades comme des salsifis
J’étais un gars timide, j’fais des platines en faisant des sacrifices
Sapristi sacré type devenu alchimiste
J’connais l’arithmétique du rap et sa rythmique
J’la découpe au sabre, genre sashimi
Et sache que c’est pas fini
Mon artistique est sans artifice eux ils falsifient
Mais j’reste hip-hop genre beat-box et graffitis
Attends pas si vite, si mon frère c’est Tupac appelle moi Biggie
Flo bien-sûr
Sers-moi un coca-fraise, j’ai besoin d’être à l’aise
Avant de toucher le sol et de rejoindre le ciel
À quoi pense l’Homme qui vient de sauter de la falaise ?
Des fois, je voudrais m’indigner et puis j’suis aphone
On a de sales mentalités mais de très beaux iPhones
Donc prend un screenshot du monde et sa décadence
On dit que la roue tourne oui mais dans quel sens ?
Ils veulent la guerre, moi, je laisse brûler le torchon
Je prends l’avion et dans mon casque, y’a du Demi Portion
Celle-là c’est pour les anciens, que je respecte
Allume ton joint mais s’il te plait tonton, ouvre la fenêtre
On sanctifie les débiles, anime les débats stériles
Y’a pas longtemps j’ai dû annuler mes billets pour le Brésil
Parait que dans mon dos, ça l’ouvre
J’m’en bats les couilles, j’suis à Toulouse et je me la coule douce
Avec ma pote qui me dit que les mecs, c’est tous les mêmes
Avec mon pote qui me dit à quel point les filles le malmènent
Ah merde, hommes et femmes et leurs différences
En fait, faudrait peut-être que je les présente
L’album sort le 23 novembre
J’répète, l’album sort le 23 novembre
J’viens d’une autre planète, passe une fusée que je rentre
Celle-là c’est pour mon pote qui aime jamais quand je chante
Leur phases sont fades comme des salsifis
J’étais un gars timide, j’fais des platines en faisant des sacrifices
Sapristi sacré type devenu alchimiste
J’connais l’arithmétique du rap et sa rythmique
J’la découpe au sabre, genre sashimi
Et sache que c’est pas fini
Mon artistique est sans artifice eux ils falsifient
Mais j’reste hip-hop genre beat-box et graffitis
Attends pas si vite, si mon frère c’est Tupac appelle moi Biggie
Flo bien-sûr
L’album sort le 23 novembre
J’répète, l’album sort le 23 novembre (vraiment)
L’album sort le 23 novembre
Encore un, l’album sort le 23 novembre (dis-le)
L’album sort le 23 novembre (aight)
L’album sort le 23 novembre
L’album sort le 23 novembre