Lyrics SCH – Froid
Text:
Sans moi, le jour se lèvera quand même
J’ai laissé ça, je sais qu’ils le prendront pas comme un poème
Un peu de ma mémoire en éprouvette
Sur le chantier de ma vie, entasse mes péchés sur la brouette
Je suis pas malnutri, le shit nous meurtri, j’ai les crocs, grave
Dans le noir, calfeutré : la concu’, je veux que son égo crame
Je connais les plus profonds secrets des tes-trai, d’autres savent
Qu’on peut faire du lourd, suffit de 1000 millilitres slaves
Ça fait «di-ling-ding» quand la douille tombe, on a des vies de vikings et leurs couilles tremblent
Pas dans leurs gang-bangs de moutons, ah, j’ai le fond, la forme qui dérangent
Faudrait qu’on stoppe tout ce qui nous ronge, le sang coule couleur rouge vif, sans passer par l’orange
Mère tourmentée par tant de mourons
J’entre carré dans un monde tout rond, trouve-moi un putain de concurrent
Je vais leur déverser v’là le torrent, je lâche des gros versets, ils sauront
Mon pote, c’est 13 miles 4, oui, pédé, t’es à quatre pattes
Pire qu’à la télé, je vais t’enfoncer le m-i-c dans la prostate
Faites glisser toutes les fausses stars, je fais giser le sang sur l’oscar
Bats les reins de ma gueule en poster, je veux gros sous, frère, sur grosse table
Grosse nouvelle, tu nous emboucanes, j’ai trop de séquelles physiques et mentales
Encore un mix chimique et local, gros, ça sent à travers le cellophane
Regarde, regarde-moi de travers, je m’en bats les reins, approche-toi, vas-y, cause à mon fer
Tu vas m’apporter trop de soucis, trop de galères, trop de rien mon pote, je connais mon flair
J’ai vu ton veau-cer en pré-serrage, les grosses merdes, les pédérastes
Ceux qui le sont, ceux qui croient l’être, faut que je les ken, faut que je les terrasse
Crache mon foie (?) sur les toilettes, de mes deux doigts se dégage un ?
Pas de maux de tête, découpe mon ze-bla en trois lettres, écoute mes ques-cla sur palette
Découpe mes ques-pla sans réchaud, regarde ces vlos-tra jouer les chauds
En fusion, je bouillonne avant l’échau’, connard, c’est SCArchi-chaud
Dans le noir, calfeutré : la concu’, je veux que son égo crame
Je connais les plus profonds secrets des tes-trai, d’autres savent
Qu’on peut faire du lourd, suffit de 1000 millilitres slaves
Ça fait «di-ling-ding» quand la douille tombe, on a des vies de vikings et leurs couilles tremblent
Pas dans leurs gang-bangs de moutons, ah, j’ai le fond, la forme qui dérangent
Faudrait qu’on stoppe tout ce qui nous ronge, le sang coule couleur rouge vif, sans passer par l’orange
Mère tourmentée par tant de mourons
J’entre carré dans un monde tout rond, trouve-moi un putain de concurrent
Je vais leur déverser v’là le torrent, je lâche des gros versets, ils sauront
Mon pote, c’est 13 miles 4, oui, pédé, t’es à quatre pattes
Pire qu’à la télé, je vais t’enfoncer le m-i-c dans la prostate
Faites glisser toutes les fausses stars, je fais giser le sang sur l’oscar
Bats les reins de ma gueule en poster, je veux gros sous, frère, sur grosse table
Grosse nouvelle, tu nous emboucanes, j’ai trop de séquelles physiques et mentales
Encore un mix chimique et local, gros, ça sent à travers le cellophane
Regarde, regarde-moi de travers, je m’en bats les reins, approche-toi, vas-y, cause à mon fer
Tu vas m’apporter trop de soucis, trop de galères, trop de rien mon pote, je connais mon flair
J’ai vu ton veau-cer en pré-serrage, les grosses merdes, les pédérastes
Ceux qui le sont, ceux qui croient l’être, faut que je les ken, faut que je les terrasse
Crache mon foie (?) sur les toilettes, de mes deux doigts se dégage un ?
Pas de maux de tête, découpe mon ze-bla en trois lettres, écoute mes ques-cla sur palette
Découpe mes ques-pla sans réchaud, regarde ces vlos-tra jouer les chauds
En fusion, je bouillonne avant l’échau’, connard, c’est SCArchi-chaud