Текст Lord Esperanza – Vivre
Текст:
Vivre pour s’entre-tuer
Cultiver sa différence
Verser le sang jusqu’à suer
Vivre ou mourir, quitter ce monde dans un fou rire
Sur les bords du mirador, difficile de fuir la mort
Pure créance, tout ça craint
L’écran a plus de force qu’une caméra de surveillance
Solitaire depuis l’départ, je ne pense qu’à renier les lois
Rafraîchir la page d’accueil jusqu’à saigner des doigts
La ville est une prison de verre que faire face à l’enfermement
Les cœurs sont froids comme bout d’plastique
J’me dit qu’parfois l’enfer me manque
Rêver d’une vie fantastique, supprimer par l’appât du gain
Quand l’malheur nous pousse à bout, sommes-nous vraiment capables du bien ?
Ce n’est pas signe de bonne santé mentale que d’être adapté à une société malade
La vérité c’est qu’y a pas d’vérité, seul le temps révèle les procédés valables
Dis-moi combien coûte un Homme ? Dis-moi combien coûte une âme
Dirigés par le goût du risque, le prix d’une vie se résume dans le coup de l’arme
Vie tractions massives, dictature du paraître
Certains pensent qu’avec des avoirs, on finit même par être
Putain d’système aseptisé, l’œil de verre nous méprise
À force, on est tous épuisés par la traîtrise qui fait criser
Ouais la méfiance authentifiée, la douleur est dure à quantifier
Monde en folie gentrifié, compliqué à authentifier
Tous unis dans cette quête conjointe où les bas-fonds nous bercent
Ma rébellion fait une tête plongeante dans le plafond de verre
Pure créance, tout ça craint
L’écran a plus de force qu’une caméra de surveillance
Solitaire depuis l’départ, je ne pense qu’à renier les lois
Rafraîchir la page d’accueil jusqu’à saigner des doigts
La ville est une prison de verre que faire face à l’enfermement
Les cœurs sont froids comme bout d’plastique
J’me dit qu’parfois l’enfer me manque
Rêver d’une vie fantastique, supprimer par l’appât du gain
Quand l’malheur nous pousse à bout, sommes-nous vraiment capables du bien ?
Ce n’est pas signe de bonne santé mentale que d’être adapté à une société malade
La vérité c’est qu’y a pas d’vérité, seul le temps révèle les procédés valables
Dis-moi combien coûte un Homme ? Dis-moi combien coûte une âme
Dirigés par le goût du risque, le prix d’une vie se résume dans le coup de l’arme
Vie tractions massives, dictature du paraître
Certains pensent qu’avec des avoirs, on finit même par être
Putain d’système aseptisé, l’œil de verre nous méprise
À force, on est tous épuisés par la traîtrise qui fait criser
Ouais la méfiance authentifiée, la douleur est dure à quantifier
Monde en folie gentrifié, compliqué à authentifier
Tous unis dans cette quête conjointe où les bas-fonds nous bercent
Ma rébellion fait une tête plongeante dans le plafond de verre