Lyrics Dinos – Post Scriptum
Text:
Il y a de la musique dans ma tête, de la musique dans mon corps
J’écris mes textes tard le soir lorsque tout le monde dort
Hier tu me négligeais, aujourd’hui tu veux de moi
En fait j’suis ce molard que le vent a renvoyé sur toi
Mais si je devais m’en prendre à ceux qui croyaient pas en moi j’me frapperais en premier
J’me dis que ça va payer mais ce n’est pas une fin en soi
Si la chance ne m’sourit pas c’est qu’elle a une dent contre moi
J’aspire à la réussite, ainsi qu’à rester le même
Ma vie n’est que musique, mon cœur bat en BPM
Ils s’disent que j’suis confiant, en réalité j’ai grave peur
J’marche avec des gens qui ne savent même pas que j’suis rappeur
On me check dans la rue, pour les autres c’est un vrai soucis
Quand je souris c’est que je me la pète, quand je souris pas je me la pète aussi
Ils prennent des photos avec moi, c’est le monde à l’envers
C’est grâce à vous que j’existe et en aucun cas l’inverse
Faire de la musique pour me changer les idées
Comme si je buvais de la Soupline pour plus m’sentir lessivé
J’écris des lignes de spleen dans lesquelles je raconte ma vie
Moi j’suis coincé dans mon monde un peu comme Alan Parrish
J’aurai toujours du mal à comprendre l’être humain
J’télécharge des albums et j’veux que les gens achètent le mien
J’réalise mon rêve et je m’envolerai autre part
Lorsqu’on commence à regretter il est déjà trop tard
L’alchimiste
Puisque la vie est une toile fascinante
J’ai fait le vœu de devenir une étoile filante
C’est en réalisant tes rêves que t’avanceras
J’suis dans le désert à la recherche du marchand de sable
Puisque la vie est une toile fascinante
C’est en réalisant tes rêves que t’avanceras
J’suis dans le désert à la recherche du marchand de sable
Faudrait peut-être que je m’excuse d’être gentil
Désolé, mais j’suis hardcore que pour ma famille
Les cieux m’ont montrés l’sens de la vie
J’ai jamais pris goût au mal
Et j’dis aux anges de lui dire merci
Faudrait peut-être que je m’excuse d’être gentil
Désolé, mais j’suis hardcore que pour ma famille
Les cieux m’ont montrés l’sens de la vie
J’ai jamais pris goût au mal
Et j’dis aux anges de lui dire merci