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Django – Fantôme

Singers: Django
song cover

Lyrics Django – Fantôme

Text:

Yeah
Hey, hey
Yeah

J’arrive comme Nurse dans le char

Comprends-tu que l’éveil se fait dans la peur ? Près du cœur, mets le sabre
Pour parler de r, on est shrabs, alors qu’il s’agit de se creuser la tête, vous n’êtes guère que des scalps
Ma jeunesse dans le sac mortuaire, en attendant l’inhumation, fais l’inventaire de mes actes obscènes
Longtemps que le mal m’obsède, je ne côtoie que des putains, Billy fait de l’ombre à Marc Dorcel
Pensées pour ces chiens pendant le take-off, je n’ai fait que partager le mépris d’Anton Tchekhov
Peine a toujours fait partie du décor, revêtis le masque et fais le malin comme McGregor
Serein quand je t’exécute, j’suis Omar, t’as posé les yeux sur Belzébuth, c’est trop tard
Je me souviens qu’on m’a dit qu’en l’autre apparaît mon reflet mais frelon, je ne vois plus que des putes, des clochards
Bonhomme serre les dents mais sous le veston saigne, tu vas serrer si tu sais c’qu’on sait
Comment veux-tu que l’humain respecte son père, lui qui dit des choses et fait l’contraire ?
Dans mon crâne, j’suis dans l’Tennessee, dans ma génétique : état d’frénésie
J’aime bien trop les femmes, John F. Kennedy, la marque laissée par Amédée reste indélébile
Ils ne font que parler dans l’zef et personne ne me retient quand je me barre seul ailleurs
J’ai passé tant d’années dans l’stress et si tu m’enlèves mon empathie, je suis Michael Myers
Connais que des rates-pi hors normes, navigue sous l’eau comme un Paris-London (yeah)
Sais-tu comment ma vie j’ordonne ? Jeune mal-aimé devient Charlie Bronson
Charlie Bronson, Charlie Bronson
Charlie Bronson, Charlie Bronson, Charlie Bronson…

Fuck un droptop, fiston, j’m’en bats les couilles, je vis dans un thriller psychologique avec Edward Norton
Je vois tous ces humains, n’ont-ils donc aucune âme ? Après tout, s’ils périssent, y a pas mort d’homme
J’suis Abou Tarek sous Corton, minuit moins deux sur chaque horloge
Vis les 120 journées d’Sodome, tu me diras c’que tu penses du monde
J’ai des démons qui me followent comme Guts, tous ceux à qui tu t’accrochent deviennent accessoires
Je te connais, toi qui tues mon orgueil, capuché, faux dans la main quand elle est passée m’voir
D’être comme vous, j’me dispense, comme l’Albanais, c’que j’dis j’pense
Elle me dit qu’elle n’a pas eu d’père, j’préfère garder mes distances

Combattant de renom peut appliquer le bushido mais n’oublie pas que la vraie guerre, elle est mentale
Couteau dans la même plaie fait des entailles, gava, j’ai connu la même peine qu’Elephant Man
Tu n’as pas de libre arbitre, on a grandi dans la grotte, ceux qui sont restés, je méprise leurs âmes
Ils ont coupé l’Yggdrasil, je m’entends tomber au combat quand ils se réveilleront au Niffelheim
Niffelheim, Niffelheim, Niffelheim, Niffelheim, Niffelheim…