Lyrics DTF – Le Ciel Est La Limite
Text:
RKM:
La lumière de l’aube m’effraie quand elle éclaire mon visage
Igo c’qui compte c’est pas la chute, nan c’est l’atterrissage
J’compte, j’remonte de l’Espagne, j’ai pas l’choix faut que je tente
Des centaines de larmes pour beaucoup d’drogue
La gardav’ est longue, il m’reste un stick ma3lich, j’le smoke
Le baveux clame mon innocence
Le fils de pute de proc’, à la barre, se moque
Nikomouk, j’voulais le monde, j’le veux toujours
OK Manny, ils veulent jouer à la vache, on va leur sortir le calibre
Une casse-déd à ?
T’inquiète mon ami, on va tout péter
Y’aura le llion-mi, inchaAllah quand tu seras libre, mmmhh
Malgré tous les coups d’crasse, moi j’ai pas changé, mmmhh
J’deviens mauvais quand faut ramener à manger
RTI & RKM:
Eh ouais j’suis faya, faya, faya
Bats les reins j’m’envole
Eh ouais j’suis faya, faya, faya
Le temps m’abandonne
Et pour les miens j’fais les sous, j’irai jusqu’au sommet
Et à force j’deviens fou, j’prends c’que la vie me donne
RTI:
Dur de grandir dans la tess’ sans vulgarité
Et si le pe-ra ça marche, c’est que je l’ai mérité
Les médias en rajoutent souvent, sans connaître la vérité
Te laisse pas entraîner par le Sheitan et sa vanité
J’reste lucide : un teh, moi ça m’suffit
J’me retiens d’être impulsif
J’traîne tard le soir mais j’suis pas coupable
Les gens qui parlent, les gens passent bah ouais
Wesh ils sont fous ou quoi ? Ils pensent à nous apeurer
WAllah, wAllah j’suis mal quand j’vois nos Mama pleurer
Voilà, voilà ce qui arrive quand tu fous la merde
Voilà, voilà ce qui arrive
Ne prends pas trop goût à la vie, un jour tu finiras sous terre
Devant le bât’, y’a poto ?
Dans nos galères, t’inquiète on gère
Oula on s’en tape, j’ai trop fumé, j’suis dans mon bât’
RTI & RKM:
Eh ouais j’suis faya, faya, faya
Bats les reins j’m’envole
Eh ouais j’suis faya, faya, faya
Le temps m’abandonne
Et pour les miens j’fais les sous, j’irai jusqu’au sommet
Et à force j’deviens fou, j’prends c’que la vie me donne
Eh ouais j’suis faya, faya, faya
Bats les reins j’m’envole
Eh ouais j’suis faya, faya, faya
Le temps m’abandonne
Et pour les miens j’fais les sous, j’irai jusqu’au sommet
Et à force j’deviens fou, j’prends c’que la vie me donne