Lyrics Eddy De Pretto – Jimmy
Text:
Jimmy, Jimmy, jamais
Jimmy, Jimmy, jamais
Jimmy, Jimmy, jamais
Jimmy, Jimmy
J’ai jamais vu l’été la neige était précoce
J’ai pas mal remonté mes dimanches à la torche
Déchiffrant tes textos, qu’avaient bien trop d’accroche
Fini par être accro, je tente même le divorce
Ton manteau sur le dos, des goûtes de sang en poche
Dégout devant cette porte, t’amènes une sorte de peau
Je n’loupe jamais le coche pour soigner mes bobos, bo bo bo
Jimmy, Jimmy, j’avais
Jimmy, Jimmy, j’avais
Jimmy, Jimmy, j’avais
Jimmy, Jimmy, j’avais
J’avais trop peu de force pour encore résister
Tu as rêvé de torse gonfler comme un guerrier
Avec ton audace folle, ton p’tit sourire en biais
Tu viens que pour m’sauver, surtout me délivrer
C’qui sent encore le chaud de ton intimité
J’étais tout excité par ce paquet épais
Pour quelque d’billet d’près, t’en as toujours assez
Tant pis si ça m’fais les traits, t’façon j’te rappellerai
Mais, mais, mais
Jimmy, Jimmy, j’avoue
Jimmy, Jimmy, j’avoue
Jimmy, Jimmy, j’avoue
Jimmy, Jimmy, j’avoue
J’avoue que dans la nuit, je ne te loupe jamais
Même aux heures de l’oublie t’arrive vite dans l’avalanche
Sur la pente de pluie, t’auras toujours pas d’blanche
Tu relances la musique, tu ressuscites mes danses
T’amènes tout mes délices sur un grand plateau d’argent
Tu traverses les périphs pour sauver mes urgences
Au rythme de tes périples, je suis ton allégeance
Jimmy, Jimmy, j’étais
Jimmy, Jimmy, j’étais
Jimmy, Jimmy, j’étais
Jimmy, Jimmy, j’étais
J’étais beaucoup trop deg, j’pensais qu’t’allais traîner
J’m’imaginais tandem dépasser comme tempête
T’empeste toujours la fête dans ma cage d’escalier
Ton doux parfait des ailes, oh oui, j’le reconnaîtrai
Parmi toutes ces paillettes que tu laisses s’envoler
Que peut-être même tu perds à des autres condamnés
T’inquiètes pas, j’te surveille ou au combien j’t’attendrai
T’es déjà dans mes veines, moi j’te veux dans les plaies
Jimmy, Jimmy, j’arrête
Jimmy, Jimmy, j’arrête
Jimmy, Jimmy, j’arrête
Jimmy, Jimmy jamais je n’aurais pensé que l’on serait si proches
J’ai jamais vu l’été, ta neige était féroce