Lyrics Fababy – Le Retour Vers La Symphonie – Freestyle #1
Text:
Le retour vers la symphonie…
«La Symphonie des Chargeurs», viendra «La Force du Nombre», 30 septembre
Me compare pas à eux : c’est vexant…
Toc, toc, toc : gros, tu sais bien c’est qui
Mes couilles s’en prennent à tout l’monde, ou voire à n’importe qui
Famille nombreuse : Maman n’a pas l’temps de tous nous causer
Dix baguettes, vol de sapes et lits superposés
Tu m’évites, j’viendrai plus tard, j’suis de plus en plus dare
Aux amitiés obscures, ma méfiance a mis les pleins phares
Pour des vieilles embrouilles, on sort les brolics tout jdid
La paix n’a pas d’lieu, ben que la violence nous guide
T’approche pas, j’mords, ouais, j’suis un véritable animal
J’rappe plus en #31# : j’suis sorti d’l’anonymat
J’suis avec mon équipe, arrête d’nous sucer la bite
Tu m’prends la tête ? On t’décapite, frère, on sait où t’habites
Fais pas l’mec gang : on sait qu’ta sœur a né-tour’
Toujours sécher les cours, dominer j’suis né pour
Si tu m’cherches : nous, on fera aucun discours
Mes gars m’suivront en Enfer, et mes calibres te disent : «Cours !»
Les groupies à quatre pattes, j’veux l’allonge à Sagat
J’suis un bonhomme, oui, ça date, j’suis calibré si ça s’gâte
Une rotte-ca, une bagarre, un faux frère, un bâtard
Même si t’es large comme une armoire, la juge peut t’mettre au placard
Notre vendetta va trop vite d’après la juge et radar
C’est d’la violence gratuite, pourquoi solder la hagra ?
Nos mères ont les mêmes larmes, mais pas pour les mêmes causes
J’sors d’la Seine-Saint-Denis : est-ce que ça t’dit quelque chose ?
Des fois j’aimerais partir, et qu’on m’revoie même plus
Amitié mal vécue, oui, l’amour m’a déçu
Nous cherche pas, frère, on est sans états d’âme
Famille nombreuse : Maman n’a pas l’temps de tous nous causer
Dix baguettes, vol de sapes et lits superposés
Tu m’évites, j’viendrai plus tard, j’suis de plus en plus dare
Aux amitiés obscures, ma méfiance a mis les pleins phares
Pour des vieilles embrouilles, on sort les brolics tout jdid
La paix n’a pas d’lieu, ben que la violence nous guide
T’approche pas, j’mords, ouais, j’suis un véritable animal
J’rappe plus en #31# : j’suis sorti d’l’anonymat
J’suis avec mon équipe, arrête d’nous sucer la bite
Tu m’prends la tête ? On t’décapite, frère, on sait où t’habites
Fais pas l’mec gang : on sait qu’ta sœur a né-tour’
Toujours sécher les cours, dominer j’suis né pour
Si tu m’cherches : nous, on fera aucun discours
Mes gars m’suivront en Enfer, et mes calibres te disent : «Cours !»
Les groupies à quatre pattes, j’veux l’allonge à Sagat
J’suis un bonhomme, oui, ça date, j’suis calibré si ça s’gâte
Une rotte-ca, une bagarre, un faux frère, un bâtard
Même si t’es large comme une armoire, la juge peut t’mettre au placard
Notre vendetta va trop vite d’après la juge et radar
C’est d’la violence gratuite, pourquoi solder la hagra ?
Nos mères ont les mêmes larmes, mais pas pour les mêmes causes
J’sors d’la Seine-Saint-Denis : est-ce que ça t’dit quelque chose ?
Des fois j’aimerais partir, et qu’on m’revoie même plus
Amitié mal vécue, oui, l’amour m’a déçu
Nous cherche pas, frère, on est sans états d’âme
Bizarre, tes règles, j’les trouve longues quand c’est l’mois du ramdam
Quand l’élève dépasse le maître, le professeur est choqué
Les keufs ont peur de toquer, chez nous tout l’monde est glocké
Pour voler, elle sait que j’ai besoin d’elle
Sentiment braconnier, mon cœur fuit comme une gazelle
Des barbelés autour d’mon cœur, niveau amour j’suis rouillé
J’la baise en contre-plongée, l’test de grossesse est mouillé
Et dans ma team, y’a p’t-être des intrus, cru
J’ai des regrets plus profonds qu’un puits, oui
En bas d’nos tours, on a bien trop saigné
La rue t’apprend des choses que l’école peut pas t’enseigner
Ne pas bouger pour son pote, c’est faire preuve de lâcheté
La foi : un luxe qu’aucun mécréant riche ne pourra acheter
C’est d’la haine en HD, deux-trois mecs en H.P
J’passe mon temps à compter mes plaies, saigner ou rapper
J’bosse de plus en plus dur, j’suis l’boss, c’est d’plus en plus sûr
Les psychologues peuvent se noyer dans mes profondes blessures
Ma colère est tachée, ma douleur est cachée
Tu veux qu’une relation avance ? Jamais ressasser l’passé
Quand j’vois la jalousie d’l’Homme, j’suis extrêmement choqué
On a des secrets sur nous-mêmes qu’on n’ose même pas chuchoter
Quand j’vois la haine de l’Homme, j’suis extrêmement choqué
On a des secrets sur nous-mêmes qu’on veut même pas chuchoter
Quand j’perds mon sang-froid, appelle-moi «Joe Pesci»
Je suis c’qui fait peur à l’État : un Noir qui réfléchit
Quand t’es un rappeur, t’es à la fois un mytho
J’suis à un stade de ma vie où faudrait qu’j’joue à huis clos
Rapper avec eux ? Hein ? Mais jamais en rêve !
Dois-je faire couler l’sang pour qu’ma vengeance soit en règle ?
Ils m’ont mis les menottes car j’avais la peau mate
J’sors de garde-à-v’, tabassé par eux et traumat’
Hello, it’s baby, est-ce que les puristes m’entendent ?
Les anges sont partis sans nous, mais entre frères on s’attend
Entre la réalité et la fiction, y’a la défonce
Qu’est-ce qui sépare la vie d’la mort ? Euh… C’est la détente !
Comme un éboueur, j’suis collé à la street
Comme Sarko, j’ai dit à la juge : «Baby, tu l’aimes ou tu la quittes»
You know ?
Quand l’élève dépasse le maître, le professeur est choqué
Les keufs ont peur de toquer, chez nous tout l’monde est glocké
Pour voler, elle sait que j’ai besoin d’elle
Sentiment braconnier, mon cœur fuit comme une gazelle
Des barbelés autour d’mon cœur, niveau amour j’suis rouillé
J’la baise en contre-plongée, l’test de grossesse est mouillé
Et dans ma team, y’a p’t-être des intrus, cru
J’ai des regrets plus profonds qu’un puits, oui
En bas d’nos tours, on a bien trop saigné
La rue t’apprend des choses que l’école peut pas t’enseigner
Ne pas bouger pour son pote, c’est faire preuve de lâcheté
La foi : un luxe qu’aucun mécréant riche ne pourra acheter
C’est d’la haine en HD, deux-trois mecs en H.P
J’passe mon temps à compter mes plaies, saigner ou rapper
J’bosse de plus en plus dur, j’suis l’boss, c’est d’plus en plus sûr
Les psychologues peuvent se noyer dans mes profondes blessures
Ma colère est tachée, ma douleur est cachée
Tu veux qu’une relation avance ? Jamais ressasser l’passé
Quand j’vois la jalousie d’l’Homme, j’suis extrêmement choqué
On a des secrets sur nous-mêmes qu’on n’ose même pas chuchoter
Quand j’vois la haine de l’Homme, j’suis extrêmement choqué
On a des secrets sur nous-mêmes qu’on veut même pas chuchoter
Quand j’perds mon sang-froid, appelle-moi «Joe Pesci»
Je suis c’qui fait peur à l’État : un Noir qui réfléchit
Quand t’es un rappeur, t’es à la fois un mytho
J’suis à un stade de ma vie où faudrait qu’j’joue à huis clos
Rapper avec eux ? Hein ? Mais jamais en rêve !
Dois-je faire couler l’sang pour qu’ma vengeance soit en règle ?
Ils m’ont mis les menottes car j’avais la peau mate
J’sors de garde-à-v’, tabassé par eux et traumat’
Hello, it’s baby, est-ce que les puristes m’entendent ?
Les anges sont partis sans nous, mais entre frères on s’attend
Entre la réalité et la fiction, y’a la défonce
Qu’est-ce qui sépare la vie d’la mort ? Euh… C’est la détente !
Comme un éboueur, j’suis collé à la street
Comme Sarko, j’ai dit à la juge : «Baby, tu l’aimes ou tu la quittes»
You know ?
Baby baby no more
30 septembre : «La Force du Nombre», dans les bacs et dans les blocs
Neuf-Trois !
J’ai des punchlines de bâtard
J’suis l’rappeur préféré de ton grand frère déféré
Bande de sales chiens !