Lyrics Gringe – Mémo
Text:
Gringe & Orelsan:
J’crois que je suis l’incarnation même du mot «galérer»
J’ai passé la moitié de ma vie à errer, à tourner en rond, à revivre un jour sans fin
En décalage permanent comme les aiguilles d’une montre mal réglée (en boucle, en boucle)
Par chance, j’ai fait des rencontres qui m’ont un peu sauvé d’moi-même
Avec Casseurs, j’ai crié ma solitude pour qu’elle s’échappe et l’écho m’a répondu : «Fais les backs, fais les backs, fais les backs, fais les backs»
Depuis, j’rêve un tout petit peu moins quand j’me fais des films
Gringe est dans la place pour être
Comment c’est loin l’époque où j’étais pas dans l’casting
Fini les survêt’ designés par les trous d’boulettes, maintenant, j’écris des rimes comme si j’avais l’syndrome de la Tourette Bloqués, bloqués
J’me dis que si on meurt à l’instant même où on naît, faut que j’mette du sens dans ce que je fais et ça d’vient contagieux
Cet album, j’le vois comme un message de longs adieux, comme une éclaircie dans mon ciel ombrageux
Demain la lumière s’en ira, avec elle, les échos de notre jeunesse, quand on pensait : «On grandira quand on sera vieux» Un jour on est venu au monde»
Des fois, j’repense aux choses simples qu’cette vie a éclipsés
L’époque où j’déchirais des tickets de ciné, mais tu connais J’partirai jamais en laissant l’histoire inachevée…
Avec Casseurs, j’ai crié ma solitude pour qu’elle s’échappe et l’écho m’a répondu : «Fais les backs, fais les backs, fais les backs, fais les backs»
Depuis, j’rêve un tout petit peu moins quand j’me fais des films
Gringe est dans la place pour être
Comment c’est loin l’époque où j’étais pas dans l’casting
Fini les survêt’ designés par les trous d’boulettes, maintenant, j’écris des rimes comme si j’avais l’syndrome de la Tourette Bloqués, bloqués
J’me dis que si on meurt à l’instant même où on naît, faut que j’mette du sens dans ce que je fais et ça d’vient contagieux
Cet album, j’le vois comme un message de longs adieux, comme une éclaircie dans mon ciel ombrageux
Demain la lumière s’en ira, avec elle, les échos de notre jeunesse, quand on pensait : «On grandira quand on sera vieux» Un jour on est venu au monde»
Des fois, j’repense aux choses simples qu’cette vie a éclipsés
L’époque où j’déchirais des tickets de ciné, mais tu connais J’partirai jamais en laissant l’histoire inachevée…