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Guizmo – Chaque Fois Qu’une Porte S’ouvre

Singers: Guizmo
Albums: Guizmo – La Banquise
song cover

Lyrics Guizmo – Chaque Fois Qu’une Porte S’ouvre

Text:

Chaque fois qu’une porte s’ouvre
Qu’une porte s’ouvre
(Chaque fois)

Chaque fois qu’une porte s’ouvre, j’me rends compte que je souffre

Rien dans le portefeuille et mes espoirs à contre-jour
Il faut que ça change tout de suite, pendre des flics
S’en fout des risques, l’essentiel c’est d’prendre tout le fric
A quoi bon, tu bé-tom et tu ressors en chien
Prêts à faire des trucs de cons pour le support des anciens
Que c’est bon d’être libre, arrivé en calèche
Tu rêves d’une liberté dont les condés te privent
Que c’est bon d’être ivre, mais après quelques bières
Je n’ai d’amour que pour le son et le crime, ouais
Tous mes potes se gourent, trop de de-mer
Chaque fois qu’une porte s’ouvre, une autre se ferme
Souvent mal entouré, mais j’suis salement doué
J’reste fort mais vos bêtises m’ont gravement touché
J’suis la salope de personne, j’ai pas peur des bastons
Si mes phalanges te questionnent, interroges ton bastion

A chaque fois j’ai peur de flancher
A chaque fois j’effleure le danger
Une porte qui s’ouvre, une autre qui se ferme
Des potos qui partent, et des potos qui reviennent

A chaque fois j’ai peur de flancher
A chaque fois j’effleure le danger
Une porte qui s’ouvre, une autre qui se ferme
Des potos qui partent, et des potos qui reviennent

J’ai détalé quand les schmitts m’ont dit «Diakité arrête toi !»
J’ai palpité mais pas d’pitié car Maggie est avec moi
Ca galère en équipe, ouais, Kalash, Mal et Elie

On garde la calèche dans l’esprit
Toujours calé quand j’écris, bagarre, bicrave
Tasse-pé, Face B, la rage est dans mes tripes
J’m’arrache, et prends les biffs, salopard
T’es pas un refré si t’as bavé devant les flics
Villeneuve la Garenne, Valenton Les Polognes
Le bâtiment 9, les trafiquants de teush
Eh poto, j’vais clamser, c’est comme ça
C’est Lams qui Glock ceux qui veulent que nous taxer de force
J’écorche les sales traîtres, c’est des putains de merdes
Pour pas les buter il faudrait qu’j’me bute un teh
Qu’j’me mette dans le mouv’, en restant cool
Tellement d’groove
Bande d’enfoirés, mon putain de buzz je l’ai fait sans vous

A chaque fois j’ai peur de flancher
A chaque fois j’effleure le danger
Une porte qui s’ouvre, une autre qui se ferme
Des potos qui partent, et des potos qui reviennent

A chaque fois j’ai peur de flancher
A chaque fois j’effleure le danger
Une porte qui s’ouvre, une autre qui se ferme
Des potos qui partent, et des potos qui reviennent

Chaque fois je me dis que c’est la dernière
Mais j’peux pas, c’est ve-gra, j’dois tiser ma Heineken
Cette addiction me rends fou, c’est ma partie sombre
A la Ardisson, j’exhibe ma vision devant vous, bah ouais
J’suis décalqué, déphasé j’ai la gueule de l’emploi
J’ai cramé le R.A.P., maqué devant le Bois
La porte qui se ferme, j’croyais que j’avais touché le fond
Depuis qu’elle s’est ouverte, j’suis tourmenté toutes les secondes
J’ai l’impression de crever, à force de fumette
Devient suspect comme une fond de rre-ve
Les yeux rouges vif, négro on tue le proc’
Pour mes frères qui rêvent de soutifs et ceux qui suffoquent
Ils ont des problemes de fric, dealent pour arrondir les fins d’mois
Dépannent les sins-voi, même les poches pleines de vides
Mais je reste digne, qui peut en dire autant ?
Laissez place au charbon, écartez les tire-au-flanc

A chaque fois j’ai peur de flancher
A chaque fois j’effleure le danger
Une porte qui s’ouvre, une autre qui se ferme
Des potos qui partent, et des potos qui reviennent

A chaque fois j’ai peur de flancher
A chaque fois j’effleure le danger
Une porte qui s’ouvre, une autre qui se ferme
Des potos qui partent, et des potos qui reviennent

Album

Guizmo – La Banquise