Lyrics Haristone – Perdu
Text:
Je n’ai plus mes repères, je n’ai plus mes repères
J’suis perdu, perdu, perdu, j’suis perdu
Perdu, perdu…
Je n’ai plus mes repères, je n’ai plus mes repères
Dans ma mélancolie j’ai souvent failli me perdre
Dis moi comment trouver mon chemin dans la de-mer
Complètement du-per
J’ai l’impression qu’j’ai plus (d’air)
Pour me conseiller, j’ai plus d'(frères)
J’ai pas choisi ce que je suis devenu (khey)
Désorienté par mon désarroi
La soif de succès a troublé ma foi
J’ai caché ma haine mais c’est pas la joie
Je souris pour ne pas faire le rabat-joie
On inscrira mon blaze aux cotés de tous les meilleurs
J’me sens pas à ma place, comme si j’étais issu d’ailleurs
Pour être incompris, j’me comprends pas moi même
Je ne sais même plus d’où vient ma peine
J’ai rien à perdre, il faudrait qu’il me reste quelque chose pour que quelqu’un vienne et me le prenne
J’suis dans ma bulle et j’aime me sentir seul au monde
Ce n’sera pas la thune qui pourra palier à mon manque
J’ai perdu tout espoir en l’humanité
L’homme a fini par se déshumaniser
L’égoïsme prime sur la pluralité
Un monde qui glorifie la vulgarité
Désolidarisés, ça s’tue pour quelques écus
Mes amis m’l’ont glissé, j’le sentais mais j’suis déçu
J’hésite entre le mal et le bien
Comment puis-je aider mon prochain ?
Faut survivre parmi les requins
Dis moi comment trouver mon chemin dans la de-mer
Complètement du-per
J’ai l’impression qu’j’ai plus (d’air)
Pour me conseiller, j’ai plus d'(frères)
J’ai pas choisi ce que je suis devenu (khey)
Désorienté par mon désarroi
La soif de succès a troublé ma foi
J’ai caché ma haine mais c’est pas la joie
Je souris pour ne pas faire le rabat-joie
On inscrira mon blaze aux cotés de tous les meilleurs
J’me sens pas à ma place, comme si j’étais issu d’ailleurs
Pour être incompris, j’me comprends pas moi même
Je ne sais même plus d’où vient ma peine
J’ai rien à perdre, il faudrait qu’il me reste quelque chose pour que quelqu’un vienne et me le prenne
J’suis dans ma bulle et j’aime me sentir seul au monde
Ce n’sera pas la thune qui pourra palier à mon manque
J’ai perdu tout espoir en l’humanité
L’homme a fini par se déshumaniser
L’égoïsme prime sur la pluralité
Un monde qui glorifie la vulgarité
Désolidarisés, ça s’tue pour quelques écus
Mes amis m’l’ont glissé, j’le sentais mais j’suis déçu
J’hésite entre le mal et le bien
Comment puis-je aider mon prochain ?
Faut survivre parmi les requins
Mon lieu de vie c’est devenu la gle-jun
Enfoiré, enfoiré, à zoner dans le froid, désespéré
Mon gars, moi j’ai passé tant de soirée
Trop de piliers qui partent, j’ai du mal à m’y faire
Mon cœur me fait mal, j’me sens paralysé
Mon vécu me traque, j’suis pas fier de oim
La foi, j’m’en écarte pour des banalités
Y’a des hauts et des bas, des mauvais départs
J’ai donné, j’ai fauté, désolé les gars
J’ai bossé, j’ai bossé pour creuser l’écart
Oui pour creuser le fossé
Et les soucis troublent trop souvent mes nuits
J’oublie de profiter de la vie
À cogiter comme un taré dans mon lit
La solitude pour seule amie
Dieu m’en est témoin
Loin d’être l’homme idéal
J’aimerais faire le bien mais j’ai trop d’idées sales
Je sais d’où j’viens, mais j’sais pas où je vais
J’me méfie des gens qui m’accueillent les bras ouverts
Je me plains pour rien même quand j’ai pas à le faire
Malgré les doutes, je sais que j’lâcherai pas l’affaire
Désorienté j’ai plus la notion du sommeil
Je m’endors bien après le levé du soleil
Poto ma vie je la résume sur des poèmes
J’ai l’impression d’être envahit par les problèmes
Y’a rien d’étonnant, on a grandi dans la violence
Piloter sa vie, c’est pas très évident lorsqu’on a pas apprit à tenir le volant
À cause de la tentation, on perd des frères
On sait que c’est bête, mais pourtant on persévère
Ce n’est pas très simple de se repentir
Lorsqu’on a connu que le péché
Lorsqu’à nous même, on a fait que de se mentir
En sachant que notre moral en a pris très cher
Dans ce monde de brute, pour survivre, on doit devenir comme tel
Surtout ne pas devenir homme faible, rester debout sans jamais déclarer forfait
J’arrête pas d’avancer dans le noir
J’dors pas, je n’fais qu’enchaîner les cauchemars
Mes rents-pa pleurent pour moi mais je reste sans voix
Mes frères partent, j’pourrais jamais leur dire «au revoir»
Un décès ça vous rend vite dépressif
Les décisions prises deviennent excessives
Peut bousiller nos vies respectives
L’espace se ressert, l’étau rétrécisse
Enfoiré, enfoiré, à zoner dans le froid, désespéré
Mon gars, moi j’ai passé tant de soirée
Trop de piliers qui partent, j’ai du mal à m’y faire
Mon cœur me fait mal, j’me sens paralysé
Mon vécu me traque, j’suis pas fier de oim
La foi, j’m’en écarte pour des banalités
Y’a des hauts et des bas, des mauvais départs
J’ai donné, j’ai fauté, désolé les gars
J’ai bossé, j’ai bossé pour creuser l’écart
Oui pour creuser le fossé
Et les soucis troublent trop souvent mes nuits
J’oublie de profiter de la vie
À cogiter comme un taré dans mon lit
La solitude pour seule amie
Dieu m’en est témoin
Loin d’être l’homme idéal
J’aimerais faire le bien mais j’ai trop d’idées sales
Je sais d’où j’viens, mais j’sais pas où je vais
J’me méfie des gens qui m’accueillent les bras ouverts
Je me plains pour rien même quand j’ai pas à le faire
Malgré les doutes, je sais que j’lâcherai pas l’affaire
Désorienté j’ai plus la notion du sommeil
Je m’endors bien après le levé du soleil
Poto ma vie je la résume sur des poèmes
J’ai l’impression d’être envahit par les problèmes
Y’a rien d’étonnant, on a grandi dans la violence
Piloter sa vie, c’est pas très évident lorsqu’on a pas apprit à tenir le volant
À cause de la tentation, on perd des frères
On sait que c’est bête, mais pourtant on persévère
Ce n’est pas très simple de se repentir
Lorsqu’on a connu que le péché
Lorsqu’à nous même, on a fait que de se mentir
En sachant que notre moral en a pris très cher
Dans ce monde de brute, pour survivre, on doit devenir comme tel
Surtout ne pas devenir homme faible, rester debout sans jamais déclarer forfait
J’arrête pas d’avancer dans le noir
J’dors pas, je n’fais qu’enchaîner les cauchemars
Mes rents-pa pleurent pour moi mais je reste sans voix
Mes frères partent, j’pourrais jamais leur dire «au revoir»
Un décès ça vous rend vite dépressif
Les décisions prises deviennent excessives
Peut bousiller nos vies respectives
L’espace se ressert, l’étau rétrécisse
J’suis perdu frère, perturbé
La vie m’a percuté
Dois-je aimer ou faire du blé ?
Mes démons perdurent et
Je ne monte pas, je n’fais qu’chuter
Les erreurs se répercutent mais
J’n’ai pas pu m’en excuser
J’suis perdu, perdu, perdu, perdu…
J’suis perdu, perdu, perdu, perdu…
J’suis perdu… J’suis perdu…
J’suis perdu… J’suis perdu…