Lyrics Hayce Lemsi – 6452
Text:
Monsieur Belouizdad Islam, né à Hussein Dey en Algérie, le 16 décembre 1987, devra effectuer une peine de prison ferme d’une durée de 11 mois
Ici monsieur Belouizdad, vous aurez tout le temps de trouver l’inspiration nécessaire
Ahahaha
Vous m’dégoutez tous autant qu’vous êtes
Moi jaguar de la brousse, vous zèbre
J’me lève le visage boursoufflé
Surveillante j’vais te zoom zoom zang
Zeh
Arrête un peu d’faire ta chaude
J’fais l’soufflé, je prépare la chose
J’suis toujours à la tête du fief
Fièvre de haine, j’veux la tête du chef
J’veux la tête du chef à la Guillotin
On s’f’ra fusiller comme Guy Moquet
J’ai foutu mes 16 mesures dans le grille-pain
Jamais j’donne du liquide aux keh
Trop déter’ tah les napolitains
Transaction dans le funiculaire
Cousin tu joues trop les yakuza
On va t’découper l’auriculaire
Heureusement qu’le ridicule ne tue pas
T’es loin mais n’oublie pas d’où tu pars
7.62 troue la peau
J’ai encore élargi son trou, la pauvre
Bang bang bang
Bang bang bang
Go fast, on est d’retour d’Amsterdam
Tu fais l’voyou, j’ai trois fois ton vécu
T’as fait wallou à part des posts Instagram
Ton honneur me servira d’serpillère
J’me lève le visage boursoufflé
Surveillante j’vais te zoom zoom zang
Zeh
Arrête un peu d’faire ta chaude
J’fais l’soufflé, je prépare la chose
J’suis toujours à la tête du fief
Fièvre de haine, j’veux la tête du chef
J’veux la tête du chef à la Guillotin
On s’f’ra fusiller comme Guy Moquet
J’ai foutu mes 16 mesures dans le grille-pain
Jamais j’donne du liquide aux keh
Trop déter’ tah les napolitains
Transaction dans le funiculaire
Cousin tu joues trop les yakuza
On va t’découper l’auriculaire
Heureusement qu’le ridicule ne tue pas
T’es loin mais n’oublie pas d’où tu pars
7.62 troue la peau
J’ai encore élargi son trou, la pauvre
Bang bang bang
Bang bang bang
Go fast, on est d’retour d’Amsterdam
Tu fais l’voyou, j’ai trois fois ton vécu
T’as fait wallou à part des posts Instagram
Ton honneur me servira d’serpillère
Car je suis l’éloquence à son paroxysme
Nique sa grand-mère le S.M.P.R
À l’heure qu’il est, c’est moi qui fait la morale aux psys
Pas besoin d’vos soins, ni d’vos sous
Vos discours sont pleins d’inepties
Pas besoin d’être soûl
Jack-Pepsi
Reconnaissez que le patron s’appelle Hayce Lemsi
1.2.3. j’suis en 6.3
4.5.6. j’récupère ta miss
7.8.9 j’ai guer-lar les keufs
10.11.12 pièces dans le Thalys
Nan
Pas besoin de talisman
T’as pas d’khaliss, ne mens pas au mentaliste
Nan
J’suis un gros zizi d’Bériz
Elle agrippe les rideaux, je la brutalise
Haaan
J’ai trop faim sa mère
J’vais t’faire un cratère
J’suis un fin stratège
Avant d’parler dans mon dos
Regarde un peu mes trapèzes
(Ha, ha, ha, ha)
C’est les autres qui s’plaignent mais c’est moi qui souffre
J’ai trempé le calame dans le fond d’ma plaie
Quand je ferme les yeux, c’est le monde qui s’ouvre
(Ha, ha, ha, ha)
Le destin m’a serré dans ses bras lourds
M’a laissé dans un coin d’ombre de l’histoire
J’ressors et deviens numéro un des poids lourds
(Allez, boma yé)
Y’a, y’a des armes lourdes et des cadavres d’enfants du canal de l’Ourcq
Tu regardes à gauche, tu regardes à droite
J’suis derrière oit’, j’te fais la technique de l’ours
J’viens d’voir ton mental étriqué
J’irai pisser sur les décombres de ton empire
Elle cherche un arabe très friqué
Les canines aiguisées, elle m’suce le sang comme un vampire
(Hashtag Twilight)
J’ai bientôt la trentaine mais j’arrive avec le charisme d’un chêne centenaire
Ils savent à quoi s’en tenir, j’veux pas d’or sur le trône
Je me con-tenterai d’un siège en pierre
De la sueur, des larmes et des chrysanthèmes
C’est la crise dans nos cellules, on écrit sans thème
La vie c’est pas Bouddha, paré d’Christian Dior
Tu t’en rends compte le jour où tu fais d’la prison ferme
J’voulais juste que ma mère soit reine
J’ai longtemps vécu dans la haine
J’ai souffert, j’ai appris qu’faire la guerre à la terre entière, c’était faire la guerre à soi-même, ha !
Et j’ignore la provenance de ma frustration
J’veux pas juste brasser, déguster crustacés
J’ai la tête qui tourne à cause des ultra-sons
Pe-petit frère j’t’aurai servi d’exemple
La street n’est qu’une pute ingrate
Le baveux mérite qu’on lui coupe la langue
Car à cause de lui la vérité coûte un bras
Sur la toile d’araignée du système, je vois s’agglutiner les anti-sociaux
Trop d’loko qui naissent en cité, dans la nécessité
Mais combien s’en sortent ?
Si mon cœur était un encrier, que ma main me servait de plume
J’prendrais trois gouttes de mon sang pour écrire que Marine Le Pen est la reine des putes
(Sale pute)
Le chtar c’est l’école du crime
On en sort encore plus marginalisé
J’crache ma haine, j’dénonce le système
Car les vrais mafieux dorment à l’Élysée
La cité là!
Nique sa grand-mère le S.M.P.R
À l’heure qu’il est, c’est moi qui fait la morale aux psys
Pas besoin d’vos soins, ni d’vos sous
Vos discours sont pleins d’inepties
Pas besoin d’être soûl
Jack-Pepsi
Reconnaissez que le patron s’appelle Hayce Lemsi
1.2.3. j’suis en 6.3
4.5.6. j’récupère ta miss
7.8.9 j’ai guer-lar les keufs
10.11.12 pièces dans le Thalys
Nan
Pas besoin de talisman
T’as pas d’khaliss, ne mens pas au mentaliste
Nan
J’suis un gros zizi d’Bériz
Elle agrippe les rideaux, je la brutalise
Haaan
J’ai trop faim sa mère
J’vais t’faire un cratère
J’suis un fin stratège
Avant d’parler dans mon dos
Regarde un peu mes trapèzes
(Ha, ha, ha, ha)
C’est les autres qui s’plaignent mais c’est moi qui souffre
J’ai trempé le calame dans le fond d’ma plaie
Quand je ferme les yeux, c’est le monde qui s’ouvre
(Ha, ha, ha, ha)
Le destin m’a serré dans ses bras lourds
M’a laissé dans un coin d’ombre de l’histoire
J’ressors et deviens numéro un des poids lourds
(Allez, boma yé)
Y’a, y’a des armes lourdes et des cadavres d’enfants du canal de l’Ourcq
Tu regardes à gauche, tu regardes à droite
J’suis derrière oit’, j’te fais la technique de l’ours
J’viens d’voir ton mental étriqué
J’irai pisser sur les décombres de ton empire
Elle cherche un arabe très friqué
Les canines aiguisées, elle m’suce le sang comme un vampire
(Hashtag Twilight)
J’ai bientôt la trentaine mais j’arrive avec le charisme d’un chêne centenaire
Ils savent à quoi s’en tenir, j’veux pas d’or sur le trône
Je me con-tenterai d’un siège en pierre
De la sueur, des larmes et des chrysanthèmes
C’est la crise dans nos cellules, on écrit sans thème
La vie c’est pas Bouddha, paré d’Christian Dior
Tu t’en rends compte le jour où tu fais d’la prison ferme
J’voulais juste que ma mère soit reine
J’ai longtemps vécu dans la haine
J’ai souffert, j’ai appris qu’faire la guerre à la terre entière, c’était faire la guerre à soi-même, ha !
Et j’ignore la provenance de ma frustration
J’veux pas juste brasser, déguster crustacés
J’ai la tête qui tourne à cause des ultra-sons
Pe-petit frère j’t’aurai servi d’exemple
La street n’est qu’une pute ingrate
Le baveux mérite qu’on lui coupe la langue
Car à cause de lui la vérité coûte un bras
Sur la toile d’araignée du système, je vois s’agglutiner les anti-sociaux
Trop d’loko qui naissent en cité, dans la nécessité
Mais combien s’en sortent ?
Si mon cœur était un encrier, que ma main me servait de plume
J’prendrais trois gouttes de mon sang pour écrire que Marine Le Pen est la reine des putes
(Sale pute)
Le chtar c’est l’école du crime
On en sort encore plus marginalisé
J’crache ma haine, j’dénonce le système
Car les vrais mafieux dorment à l’Élysée
La cité là!
64.52
On m’arrête à Poitiers comme en 732
J’m’en fous, j’suis indépendant d’puis 62
Même si y’a pas un, j’coupe en deux
64.52
64.52
64.52
Eurêka, yeah, oh yeah oh