GLyr

Jazzy Bazz – Buenos Aires – Paris

Singers: Jazzy Bazz
Albums: Jazzy Bazz – Jazzy Bazz - Nuit
song cover

Lyrics Jazzy Bazz – Buenos Aires – Paris

Text:

Gros daleux depuis la naissance, j’me demande à quoi bon grimper
Vu que j’finirai par descendre, l’atmosphère est oppressante
Inutile qu’je me présente, j’ai pas l’cœur à faire la fête
Mais j’ai l’doigt sur la détente, j’nique la scène comme une rockstar

J’tournais en rond et j’ai tout raflé comme une tornade
Touchez-vous jusqu’à l’orgasme
J’tournais en rond et j’ai tout raflé comme une tornade
Elle est très défoncée, je suis très défoncé
Elle veut se faire monter mais le temps est compté
Tenue légère, cette déesse est dévergondée
J’suis célèbre, ça t’énerve, t’aimerais faire c’qu’on fait
Mais tu n’as aucun flow, gros, laisse tomber
En indé’, je vends deux fois plus, gros, laisse tomber
Tu remplirais pas ton salon, laisse tomber
Retourne vendre des nuggets, laisse tomber
J’suis le boss, faut qu’ils l’admettent
J’t’envoie dans l’espace comme la crystal meth
On f’ra l’tour de la voie lactée
J’t’en ai fait la promesse, la voilà actée
J’nique la scène comme une rockstar
J’tournais en rond et j’ai tout raflé comme une tornade
Touchez-vous jusqu’à l’orgasme
J’tournais en rond et j’ai tout raflé comme une tornade

Buenos Aires — Paris, Buenos Aires — Paris
Derrière le hublot, j’pense à ma vie
J’me rapproche d’une autre galaxie (et quel tableau)
À l’œil nu, j’vois pas le paradis (au-d’ssus des nuages)
Je n’vois pas Dieu non plus mais j’le ressens dans ma poitrine
Depuis ma venue (au monde), j’attends l’heure du parachutage
L’heure des réponses à mes questions (pour l’instant)

J’réponds à celles qui relèvent de ma vie et de sa gestion
Ex-impulsif, le temps m’a rendu plus sage
J’n’arrête pas de m’déplacer (déplacer)
Si j’suis proche d’un ennemi, c’est qu’il ne s’est pas encore déclaré
J’enchaîne les heures de vol jusqu’à r’ssembler à un dépravé
Où qu’j’sois, j’me sens égaré
Mais aussi libre que les gens en business class
Même si mes jambes n’ont qu’un tout p’tit espace
J’me sens à l’aise comme l’aigle en plein vol
Quand j’m’élève dans les airs et qu’j’observe bien l’sol
À cette échelle, je cerne que tout n’est que intox
Et qu’on est déjà mort mais je reste qu’un homme, han
Qui opère la nuit et protège sa mif’
J’suis prêt à en perdre la vie, Buenos Aires — Paris

Album

Jazzy Bazz – Jazzy Bazz - Nuit