Lyrics Jazzy Bazz – Feu Grégeois (Freestyle)
Text:
Han, nouvel album le 7 septembre, c’est du bon, t’as ma parole
J’passerai ma vie à l’ombre, pas au ballon mais sous un parasol
J’me sens comme celui qui vient d’sortir du trou
Dans ma rue, c’est l’Moyen-Âge, pas b’soin d’aller au Puy du Fou
Passionné comme Da Fonseca, j’me dis qu’il faut qu’on s’éclate
Dans l’fond, c’est comme un défi, chacun défend son camp, tu vas défoncer qui ?
On nous a bercé trop près du mur, ça m’suffisait pas d’les tuer, j’les ai privé de sépultures
À l’époque du premier joint d’beuh, j’savais déjà qu’je serai roi
J’envoyais des flammes bleus, maintenant, plus qu’du feu grégeois
Du premier choix j’m’arrête, bah non cherche pas la manette
Les angoisses sous mon enveloppe aggrave l’état de mal être
Han, j’m’abreuve de tout ce qui peut rendre ivre
Le ridicule ne tue pas, la preuve : beaucoup de rappeurs en vivent
Tu me critiques t’es gonflé, j’paie ma tournée, j’adore liquider mon blé
Tu veux connaître mon âge ? Regarde l’étiquette de mon whisky écossais
Han, tu peux miser sur moi, apprend leur à tirer, ces putes vont viser sur toi
Je crois en Dieu, j’viens d’Paname, y’a qu’des envieux où les gens sont fermés
Le médecin légiste pourra p’t-être voir en eux
Le monde est une vraie porcherie, t’es l’étranger d’Albert Camus
Spectateur de ta propre vie, t’as juré de n’jamais être asservi
La galère t’as eu, ça s’rait d’l’abus de dire que l’seul coupable s’appelle la rue, sa mère la pute
Jamais trop tard pour qu’on s’repente, j’sens d’la peur dans les deux sens
Ils parlent de celles qu’on inspire, jamais de celle qu’on ressent (ridicule)
Tout c’complique et j’trouve mon kiff dans la solitude
Comme si j’braquais un fourgon vide, j’me d’mande où sont les valeurs que tu véhicules
Je n’pense qu’à les étrangler dès l’aube, personne n’est à l’abri de quémander des loves
Faudrait voir les riches et les pauvres échanger les rôles
Dans l’fond, c’est comme un défi, chacun défend son camp, tu vas défoncer qui ?
On nous a bercé trop près du mur, ça m’suffisait pas d’les tuer, j’les ai privé de sépultures
À l’époque du premier joint d’beuh, j’savais déjà qu’je serai roi
J’envoyais des flammes bleus, maintenant, plus qu’du feu grégeois
Du premier choix j’m’arrête, bah non cherche pas la manette
Les angoisses sous mon enveloppe aggrave l’état de mal être
Han, j’m’abreuve de tout ce qui peut rendre ivre
Le ridicule ne tue pas, la preuve : beaucoup de rappeurs en vivent
Tu me critiques t’es gonflé, j’paie ma tournée, j’adore liquider mon blé
Tu veux connaître mon âge ? Regarde l’étiquette de mon whisky écossais
Han, tu peux miser sur moi, apprend leur à tirer, ces putes vont viser sur toi
Je crois en Dieu, j’viens d’Paname, y’a qu’des envieux où les gens sont fermés
Le médecin légiste pourra p’t-être voir en eux
Le monde est une vraie porcherie, t’es l’étranger d’Albert Camus
Spectateur de ta propre vie, t’as juré de n’jamais être asservi
La galère t’as eu, ça s’rait d’l’abus de dire que l’seul coupable s’appelle la rue, sa mère la pute
Jamais trop tard pour qu’on s’repente, j’sens d’la peur dans les deux sens
Ils parlent de celles qu’on inspire, jamais de celle qu’on ressent (ridicule)
Tout c’complique et j’trouve mon kiff dans la solitude
Comme si j’braquais un fourgon vide, j’me d’mande où sont les valeurs que tu véhicules
Je n’pense qu’à les étrangler dès l’aube, personne n’est à l’abri de quémander des loves
Faudrait voir les riches et les pauvres échanger les rôles
Han, Monomite à la prod
Han, c’est Jazzy Bazz
L’Entourage