Lyrics Jazzy Bazz – OKLM Freestyle
Text:
Si rester seul le soir chez toi te fais angoisser
Mais que t’as besoin de boire afin de t’amuser en soirée
(Si t’as jamais pu l’embrasser) malgré toutes les tactiques mises en œuvres
Si on t’catégorise depuis toujours parmi les p’tits branleurs
Si ta fainéantise a pris d’l’ampleur et t’as fait chauffer l’cerveau
Si d’un coup t’as décidé d’vivre que pour tes projets persos
Si t’as taro les tapins que tous les prolétaires sautent
Si t’as traîné jours et nuits là où les proxénètes sont
Si t’abandonnes pas à la première tentative
Si tu la fermes avant d’agir et si tu cherches à t’en sortir
Qu’importe où l’issue mène
Si la valeur aléatoire d’une vie humaine te scandalise
Si tu fais partie d’ceux qui vandalisent
Si ton gars le plus cool à pris du ferme, que l’plus brillant est en asile
Si t’en a marre de voir la haine qui s’enracine
Si quand la pièce est sur-enfumée, t’as l’impression d’être emmuré
(Si quand la ville est embrumée tu sors pour y déambuler)
Si t’as l’âme d’un aventurier et si tu n’es pas rancunier
Mais qu’tu n’es pas amnésique, malgré les années d’résine
Et autres anesthésiques, les pratiques excessives
Si tu paraîs pleins d’contradictions, volonté contre addictions
Si tu forges ta propre opinion entre ceux qui acquiescent tout l’temps et les autres en permanente opposition
Si t’apprend de gens âgés te disant qu’il faut s’emparer d’amour et de le propager mais qu’t’as du mal à t’engager
Si t’as l’impression de nager au large en tant que naufragé glacé sous un ciel ombragé pour survivre faut s’encourager (huh)
Si tu réfléchis à tout c’qui nous surpasse
Tant qu’ça nous tue pas, tu te dis que tout n’est que petite bousculade
Si la tristesse t’accompagnes partout où tu vas
Comme d’la sativa, planquée grossièrement sous l’plumard, rare que coule une larme
Si t’aimerais voyager dans l’temps, changer d’époque
Si t’aimes chambrer tes potes, si t’as dû défoncer des portes (sans faire des fautes)
Si d’un coup t’as décidé d’vivre que pour tes projets persos
Si t’as taro les tapins que tous les prolétaires sautent
Si t’as traîné jours et nuits là où les proxénètes sont
Si t’abandonnes pas à la première tentative
Si tu la fermes avant d’agir et si tu cherches à t’en sortir
Qu’importe où l’issue mène
Si la valeur aléatoire d’une vie humaine te scandalise
Si tu fais partie d’ceux qui vandalisent
Si ton gars le plus cool à pris du ferme, que l’plus brillant est en asile
Si t’en a marre de voir la haine qui s’enracine
Si quand la pièce est sur-enfumée, t’as l’impression d’être emmuré
(Si quand la ville est embrumée tu sors pour y déambuler)
Si t’as l’âme d’un aventurier et si tu n’es pas rancunier
Mais qu’tu n’es pas amnésique, malgré les années d’résine
Et autres anesthésiques, les pratiques excessives
Si tu paraîs pleins d’contradictions, volonté contre addictions
Si tu forges ta propre opinion entre ceux qui acquiescent tout l’temps et les autres en permanente opposition
Si t’apprend de gens âgés te disant qu’il faut s’emparer d’amour et de le propager mais qu’t’as du mal à t’engager
Si t’as l’impression de nager au large en tant que naufragé glacé sous un ciel ombragé pour survivre faut s’encourager (huh)
Si tu réfléchis à tout c’qui nous surpasse
Tant qu’ça nous tue pas, tu te dis que tout n’est que petite bousculade
Si la tristesse t’accompagnes partout où tu vas
Comme d’la sativa, planquée grossièrement sous l’plumard, rare que coule une larme
Si t’aimerais voyager dans l’temps, changer d’époque
Si t’aimes chambrer tes potes, si t’as dû défoncer des portes (sans faire des fautes)
T’aimerais qu’tout vienne à toi, tu la fumes pure quand elle est bonne
Si tu r’sens le manque sans internet sans téléphone
Enfant d’cette période où on n’s’accorde plus de moments pour soi
Si tu réprimes les comportement sournois dans des compartiments tout noirs
(Sombre) comme ces pensées glauques qui traiteraient d’colère
Contre l’auteur d’un article de merde au titre racoleur (ahh!)
Si tes plans dérivent, si tu fais des projets, plus des rêves
La pluie s’déverse, t’es perdu comme ce religieux narcoleptique
Qui en fait s’rait un putain d’exhib’
Si les femmes qui t’surexcitent, sont loin d’être des mannequins anorexiques
Si t’es contre tout ces standards de beauté qu’on érige et même qu’on exige
T’as du respect pour tout l’monde mais tu sens bien que la haine monte
Toujours les mêmes qu’la foule montre, on vit des putains de jours sombres
Si t’es cassé, sait qu’à 50 ans tu s’ras esquinté
Si toi aussi tu te dis qu’il est trop tôt pour s’inquiéter
Si tu t’considères sous-coté (si tu t’en plains mec t’y contribues)
Et si tu n’écoutes plus c’que radios et télévisions diffusent
Et là tu r’sens tout ce qui constitue un putain d’son qui tue
Alors, on est pareils !
Si tu r’sens le manque sans internet sans téléphone
Enfant d’cette période où on n’s’accorde plus de moments pour soi
Si tu réprimes les comportement sournois dans des compartiments tout noirs
(Sombre) comme ces pensées glauques qui traiteraient d’colère
Contre l’auteur d’un article de merde au titre racoleur (ahh!)
Si tes plans dérivent, si tu fais des projets, plus des rêves
La pluie s’déverse, t’es perdu comme ce religieux narcoleptique
Qui en fait s’rait un putain d’exhib’
Si les femmes qui t’surexcitent, sont loin d’être des mannequins anorexiques
Si t’es contre tout ces standards de beauté qu’on érige et même qu’on exige
T’as du respect pour tout l’monde mais tu sens bien que la haine monte
Toujours les mêmes qu’la foule montre, on vit des putains de jours sombres
Si t’es cassé, sait qu’à 50 ans tu s’ras esquinté
Si toi aussi tu te dis qu’il est trop tôt pour s’inquiéter
Si tu t’considères sous-coté (si tu t’en plains mec t’y contribues)
Et si tu n’écoutes plus c’que radios et télévisions diffusent
Et là tu r’sens tout ce qui constitue un putain d’son qui tue
Alors, on est pareils !