GLyr

Lonepsi – Ma Dernière Chanson Triste

Singers: Lonepsi
song cover

Lyrics Lonepsi – Ma Dernière Chanson Triste

Text:

La pluie fait le bruit de cinq-cent chevaux qui fuient, quand elle atterrit sur les carreaux de mon cœur
Les mots que je ne peux te dire qu’après minuit résonnent différemment quand la nuit se meurt
Des pensées si lumineuses envahissent ma plume, comme si ma mémoire après toi fut lavée
Les ténèbres n’ont pour autant pas disparus, j’ai le clair et l’obscur d’une étoile cassée

Le soir une frénésie m’empêche de freiner vite, je dois m’évader loin pour réécrire
Mes ennuis mes désirs qui ne cessent de s’épaissir jusqu’à m’empêcher de réfléchir
J’aurais pu rêver si le temps était réversible mais tu vois le soir une frénésie
Gronde comme un éclair gris pendant un été triste et m’empêche de réfléchir

Le jour où j’écrirai ma dernière chanson triste, je récupérerai ce que les gens m’ont pris
Cette musique, ça fait longtemps que j’attends son cri, han
Le jour où j’écrirai ma dernière chanson triste, je récupérerai ce que les gens m’ont pris
Cette musique, ça fait longtemps que j’attends son cri

Dans ma mémoire avec le temps, tes traces s’effacent, comme si tu marchais sur une plage au bord de l’eau
Surmonterai-je ces aléas désagréables ? Trouverai-je un jour un lit qui donne repos ?
Il est trop tard pour faire changer d’avis, le temps, il ne nous rendra pas nos heures épanouies
Pourrait-on au moins retrouver rapidement ce qui tuait nos tracas, les faisait s’évanouir ?

Le soir une frénésie m’empêche de freiner vite, je dois m’évader loin pour réécrire
Mes ennuis mes désirs qui ne cessent de s’épaissir jusqu’à m’empêcher de réfléchir
J’aurais pu rêver si le temps était réversible mais tu vois le soir une frénésie
Gronde comme un éclair gris pendant un été triste et m’empêche de réfléchir

Le jour où j’écrirai ma dernière chanson triste, je récupérerai ce que les gens m’ont pris
Cette musique, ça fait longtemps que j’attends son cri, han
Le jour où j’écrirai ma dernière chanson triste, je récupérerai ce que les gens m’ont pris
Cette musique, ça fait longtemps que j’attends son cri

Nous sommes comme deux montagnes l’une en face de l’autre, qui s’observent tristement car elles se rendent compte
Que le simple contact de leurs deux peaux s’avère n’être qu’une impossible rencontre

Si je me perds et m’égare dans une forêt de nuit, me guideras-tu du bout de tes étoiles ?
J’aimerais tant savoir ce que ça fait de fuir, pas à l’aide de mes pensées mais de tes voiles
Nous pouvions survivre au monde et ce pendant des heures, dans l’immense vide que l’on s’était inventé
Un vide vaste comme un rêve dans un désert, profond comme nos choix les plus insensés

La pluie fait le bruit de cinq-cent chevaux qui fuient, quand elle atterrit sur les carreaux de mon cœur
Les mots que je ne peux te dire qu’après minuit perdent de leur sens quand la nuit se meurt

Le jour où j’écrirai ma dernière chanson triste, je récupérerai ce que les gens m’ont pris
Cette musique, ça fait longtemps que j’attends son cri, han
Le jour où j’écrirai ma dernière chanson triste, je récupérerai ce que les gens m’ont pris
Cette musique, ça fait longtemps que j’attends son cri

Le jour où j’écrirai ma dernière chanson triste
Je récupérerai ce que les gens m’ont pris
Cette musique ça fait longtemps que j’attends son cri, hum