Lyrics Lord Esperanza – Love Courtney
Text:
Mélancolie des rues sur un air de piano
Pour te raconter mon histoire
J’n’ai qu’un vague souvenir de toutes ces années ternes
Où mon âme se promenait tard
Du sang sur mes rêves prémonitoires
Mon étoile m’a d’mandé : «Que veux-tu ?»
J’ai répondu : «Je veux l’monde et toi ?»
Chaque jour, je meurs, le cowbell m’heurte
J’suis ton concubin, ton Kurt Cobain
J’te chante ma peine sur des nouvelles notes
Tu sais très bien que mon cœur t’obéis
Ah bah ouais
J’suis ton concubin, ton Kurt Cobain
Ah bah ouais
Tu sais très bien que mon cœur t’obéis
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais
J’ai vu des rides sur l’visage des gens qui savent
Des cernes sur les joues d’une mère exténuée
Le ciel se vexe mais je sais que c’est voué
A ne pas durer, peu importe ce que t’en diras
Perçois-tu ce que j’endurais dans mes textes enoués ?
Cracher haine, caché peine
Ciel n’est qu’une tâche ébène
Ah, le désert s’étend
Je me dois de conserver nos trésors d’antan
J’revois l’enfant que j’étais qui s’exerçait tant
(Ah bah ouais) Notre ennemi c’est l’temps
(Ah bah ouais) Mais y’a rien d’insultant
(Ah bah ouais, ah bah ouais)
Encore une âme tournée vers elle-même
Sur laquelle on met pas d’étiquette
Encore une larme que seul le ciel sème
Qui te demande si t’es pathétique
Encore une arme, encore une arme
Qui tue et n’a pas d’éthique
Parfois ma rage s’ouvre et t’écris
Rêvons d’arroser les dunes
À quoi bon te proposer la lune
Puisque l’orage couvre tes cris ?
Chaque jour
Chaque jour, je
Chaque jour, je meurs, le cowbell m’heurte
J’suis ton concubin, ton Kurt Cobain
J’te chante ma peine sur des nouvelles notes
Tu sais très bien que mon cœur t’obéis
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais
Mélancolie des rues sur un air de piano
Pour te raconter mon histoire
J’n’ai qu’un vague souvenir de toutes ces années ternes
Où mon âme se promenait tard
Ma haine sur prémoniteur
Du sang sur mes rêves prémonitoires
Mon étoile m’a d’mandé : «Que veux-tu ?»
J’ai répondu : «Je veux l’monde et toi ?»
Chaque jour, je meurs, le cowbell m’heurte
J’suis ton concubin, ton Kurt Cobain
J’te chante ma peine sur des nouvelles notes
Tu sais très bien que mon cœur t’obéis
Ah bah ouais
J’suis ton concubin, ton Kurt Cobain
Ah bah ouais
Tu sais très bien que mon coeur t’obéis
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais, bah ouais
Ah bah ouais