Lyrics Mac Tyer – Tu Sais Qui Je Suis
Text:
Untouchable, Untouchable
Untouchable, Mister Untouchable
La vie nous a fait du mal, la vie nous a fait du bien
Ici on rêve de gent-ar, pas comme les Princes Saoudiens
Je rappe en indépendant, j’espère que tu me soutiens
«Untouchable» sur l’étendard, tu sais qu’on revient de loin
J’ai vendu pour manger du pain, pas pour une paire de Louboutin
Marabouté par une putain, elle t’a tout pris, tu restes en chien
3.5.7 sous le coussin, ça sent la mort comme à la Toussaint
Impuissant face au drame du quartier, vécu malsain
Peine de cœur, peine de card-pla, je cherche mon chemin
Écoute ces notes de piano, regarde le ciel et fume ton joint
Si l’hiver est prospère, je prépare le mariage pour le mois de juin
T’es bonne, tes courbes me rendent ouf, comme l’argent du terrain
Minute de silence pour les défunts, le cœur froid comme un assassin
Famille modèle dans une villa, un cadavre dans le jardin
J’ai pas la chance à Dujardin, je vis dans le chagrin
Ma prochaine meuf aura les yeux verts, les cheveux châtains
Derrière les murs du château, le roi pleure comme un gamin
L’empire s’écroule sous mes yeux, mais j’ai la chance d’être Africain
La chance d’être en bonne santé, la chance de voir les médecins
La chance d’être en liberté, la chance d’être parmi les miens
La galère ça rend bête, tu lèves ton Compète
Tu crèves, tu laisses le quartier en deuil et ta mère encore plus seule… Putain !
Tout le monde peut tuer tout le monde, personne n’est surhumain
En chien, il te sera difficile de faire ta peine sur une main
Les gens sur qui je peux compter, j’peux les compter sur une main
J’ai rencontré deux-trois meufs, je ne sais pas si c’est des filles bien
Vendredi prochain, si tu veux je les appelle, qu’on aille dîner
J’espère être touché par la flèche du bébé ailé
«Untouchable» sur l’étendard, tu sais qu’on revient de loin
J’ai vendu pour manger du pain, pas pour une paire de Louboutin
Marabouté par une putain, elle t’a tout pris, tu restes en chien
3.5.7 sous le coussin, ça sent la mort comme à la Toussaint
Impuissant face au drame du quartier, vécu malsain
Peine de cœur, peine de card-pla, je cherche mon chemin
Écoute ces notes de piano, regarde le ciel et fume ton joint
Si l’hiver est prospère, je prépare le mariage pour le mois de juin
T’es bonne, tes courbes me rendent ouf, comme l’argent du terrain
Minute de silence pour les défunts, le cœur froid comme un assassin
Famille modèle dans une villa, un cadavre dans le jardin
J’ai pas la chance à Dujardin, je vis dans le chagrin
Ma prochaine meuf aura les yeux verts, les cheveux châtains
Derrière les murs du château, le roi pleure comme un gamin
L’empire s’écroule sous mes yeux, mais j’ai la chance d’être Africain
La chance d’être en bonne santé, la chance de voir les médecins
La chance d’être en liberté, la chance d’être parmi les miens
La galère ça rend bête, tu lèves ton Compète
Tu crèves, tu laisses le quartier en deuil et ta mère encore plus seule… Putain !
Tout le monde peut tuer tout le monde, personne n’est surhumain
En chien, il te sera difficile de faire ta peine sur une main
Les gens sur qui je peux compter, j’peux les compter sur une main
J’ai rencontré deux-trois meufs, je ne sais pas si c’est des filles bien
Vendredi prochain, si tu veux je les appelle, qu’on aille dîner
J’espère être touché par la flèche du bébé ailé
Je passe un peu à la télé, je passe un peu à la radio
Tu peux acheter mes CD, ou continuer de sucer les autres
La guigne m’empêche de prendre de l’altitude
Négro, avec de l’attitude, caille-ra, comme d’habitude
Je regarde même plus les infos, c’est la guerre dans mon ghetto
Est-ce la lice-po qui aura ma peau, la hass ou les impôts ?
Père et Mère qui se lèvent à l’aube, en même temps les keufs viennent te prendre
Le Gouvernement désire affaiblir les récalcitrants
On sait même plus comment s’y prendre, on sait même plus dire un «Je t’aime»
Pour pénétrer le camp adverse, ils ont su armer les rebelles
Un dictateur est juste un mauvais toutou
Dans mon cœur je porte Kadhafi, Saddam et Mobutu
«L’art de la guerre» de Sun Tzu, je vous conseille de le lire
L’homme impulsif et violent ne construit pas son empire
Entraîne-toi au stand de tir, ta chance faudra pas la louper
Jette une chaloupe à la mer si le navire doit couler
En ce bas monde que des enculés qui souhaitent que tu recules
Si tout ne tient qu’à une balle, gilet pare-balles sous le pull
Si je dois crever d’un cancer et que je suis vieux, laissez-moi mourir
Déjà que la vie est très dure, j’ai eu la chance de vieillir
Mon nom tu peux le salir, je sais que l’Homme est mauvais
Gros yeux, sourcils en l’air, ceux qui n’arrivent à rien me détestent
J’ai offert des opportunités, j’avais trop de cœur
«Braveheart», on partage pas son trésor en période de guerre
J’m’en bats les couilles, ce qui est fait est fait
Dans ma carrière, j’ai tout fait, sauf collectionner les trophées
Va te faire enculer, on ne m’arrache pas comme ça de mes racines
Insomniaque, j’essaie de trouver le sommeil en comptant mes ennemis, hein l’ami !
Une sensation d’être arrivé au bout de ma vie
Une part de folie prononcée, mais j’ai pas besoin de psy
Plutôt d’un brolic, d’un bifton ou bien d’un passeport
J’aurais l’air plus sympathique que Terminator
Socrate en plein cœur de la discorde
J’ai vu l’espoir du ghetto français suspendu à une corde
Ai-je encore besoin de dire qui je suis ?
Neuf-Trois dans le regard du logo pour savoir qui me suit
Ai-je encore besoin de dire qui je suis ?
Neuf-Trois dans le regard du logo pour savoir qui me suit
Tu peux acheter mes CD, ou continuer de sucer les autres
La guigne m’empêche de prendre de l’altitude
Négro, avec de l’attitude, caille-ra, comme d’habitude
Je regarde même plus les infos, c’est la guerre dans mon ghetto
Est-ce la lice-po qui aura ma peau, la hass ou les impôts ?
Père et Mère qui se lèvent à l’aube, en même temps les keufs viennent te prendre
Le Gouvernement désire affaiblir les récalcitrants
On sait même plus comment s’y prendre, on sait même plus dire un «Je t’aime»
Pour pénétrer le camp adverse, ils ont su armer les rebelles
Un dictateur est juste un mauvais toutou
Dans mon cœur je porte Kadhafi, Saddam et Mobutu
«L’art de la guerre» de Sun Tzu, je vous conseille de le lire
L’homme impulsif et violent ne construit pas son empire
Entraîne-toi au stand de tir, ta chance faudra pas la louper
Jette une chaloupe à la mer si le navire doit couler
En ce bas monde que des enculés qui souhaitent que tu recules
Si tout ne tient qu’à une balle, gilet pare-balles sous le pull
Si je dois crever d’un cancer et que je suis vieux, laissez-moi mourir
Déjà que la vie est très dure, j’ai eu la chance de vieillir
Mon nom tu peux le salir, je sais que l’Homme est mauvais
Gros yeux, sourcils en l’air, ceux qui n’arrivent à rien me détestent
J’ai offert des opportunités, j’avais trop de cœur
«Braveheart», on partage pas son trésor en période de guerre
J’m’en bats les couilles, ce qui est fait est fait
Dans ma carrière, j’ai tout fait, sauf collectionner les trophées
Va te faire enculer, on ne m’arrache pas comme ça de mes racines
Insomniaque, j’essaie de trouver le sommeil en comptant mes ennemis, hein l’ami !
Une sensation d’être arrivé au bout de ma vie
Une part de folie prononcée, mais j’ai pas besoin de psy
Plutôt d’un brolic, d’un bifton ou bien d’un passeport
J’aurais l’air plus sympathique que Terminator
Socrate en plein cœur de la discorde
J’ai vu l’espoir du ghetto français suspendu à une corde
Ai-je encore besoin de dire qui je suis ?
Neuf-Trois dans le regard du logo pour savoir qui me suit
Ai-je encore besoin de dire qui je suis ?
Neuf-Trois dans le regard du logo pour savoir qui me suit
Untouchable, Untouchable
Untouchable, Mister Untouchable
Ai-je encore besoin de dire qui je suis ?
Neuf-Trois dans le regard du logo pour savoir qui me suit
Untouchable, Untouchable
Untouchable, Mister Untouchable