Lyrics Nemir – Déception
Text:
Je croyais que tu m’aimais, que tu étais mon pote
Mais aujourd’hui tout ce que l’on a vécu se trouve derrière la porte
Remballe tes excuses, rien ne me réconforte
Je sais ce que cela comporte, je te le dis clairement notre amitié est morte
J’ai commencé à rapper à l’âge de 12 piges
Le Hip-Hop pour moi c’était un moyen, la porte de sortie
25 ans toujours ici, mais le changement est brutal
Le Rap n’est pas mort, mais il séjourne à l’hôpital
Déception
J’ai dû vivre, mec, en faisans des concessions
Réussir à apprendre à aimer sans prendre possession
Mais la réalité est dure, elle ne pardonne pas
Elle prend la vie sans prévenir, et ne la donne pas
La vérité, c’est que rien ne dure vraiment
Qu’importe l’endroit où tu es, tu te fais tuer pile au moment du paiement
C’est le pouvoir, l’argent qui domine, chacun dans son domaine
On passe notre temps à esquiver nos mines
J’ai accepté de vivre avec cette perception
Accumuler les déceptions sur déceptions
Surmonter la dépression
La vérité fait peur à voir, on l’a subie parfois
Mais je suis obligé de l’accepter, parce qu’on a pas le choix
Le Hip-Hop pour moi c’était un moyen, la porte de sortie
25 ans toujours ici, mais le changement est brutal
Le Rap n’est pas mort, mais il séjourne à l’hôpital
Déception
J’ai dû vivre, mec, en faisans des concessions
Réussir à apprendre à aimer sans prendre possession
Mais la réalité est dure, elle ne pardonne pas
Elle prend la vie sans prévenir, et ne la donne pas
La vérité, c’est que rien ne dure vraiment
Qu’importe l’endroit où tu es, tu te fais tuer pile au moment du paiement
C’est le pouvoir, l’argent qui domine, chacun dans son domaine
On passe notre temps à esquiver nos mines
J’ai accepté de vivre avec cette perception
Accumuler les déceptions sur déceptions
Surmonter la dépression
La vérité fait peur à voir, on l’a subie parfois
Mais je suis obligé de l’accepter, parce qu’on a pas le choix
Malgré la déception, déception, déception
Déception
Malgré la déception, déception, déception, déception
Déception
Je croyais que la France était ma maison
Les autres avaient raison, cela dépendait des saisons
Aujourd’hui tout fous le camp
Tous les jours, on me le rappelle tout le temps
Mais je fais semblant d’être sourd face aux propos insultants
Je croyais que les jeunes étaient la force de ce pays
Victime d’une politique en treillis, l’espoir a vieilli
Chacun sa merde, ça je crois que tout le monde l’a saisi
Beaucoup moins leurs désespoirs dans l’alcool, la résine
Je rêvais d’un avenir tracé à la règle
Donner le sourire à ma mère ouvrière, en échappant à la règle
Mais quand tu viens de la tess, c’est clair, c’est encore plus dur
Le système te vide, je vis dans un vide-ordure
Le cyclone s’abat sur toi, malgré les diplômes
L’égalité : un piètre mot qui n’existe que dans les dicos
Toi, t’avais quelques picots
Etranger, tu ressens la déception à chaque fois que t’entends le slogan du cocorico
C’est tout qui se fracasse, ton travail, tes certitudes
Ta vie, tes habitudes, en clair, tes espérances te tracasse
Beaucoup ne résistent pas, parfois la fin de l’histoire est tragique
Y’a que le regard que porte l’enfant qu’est magique
J’aurais voulu rester ce gosse que rien n’atteint
Qui s’endort le soir, avec l’envie de se lever le matin
La réalité est dure, on l’a subie parfois
Mais on s’oblige à l’accepter, parce qu’on a pas le choix
Je croyais que les jeunes étaient la force de ce pays
Victime d’une politique en treillis, l’espoir a vieilli
Chacun sa merde, ça je crois que tout le monde l’a saisi
Beaucoup moins leurs désespoirs dans l’alcool, la résine
Je rêvais d’un avenir tracé à la règle
Donner le sourire à ma mère ouvrière, en échappant à la règle
Mais quand tu viens de la tess, c’est clair, c’est encore plus dur
Le système te vide, je vis dans un vide-ordure
Le cyclone s’abat sur toi, malgré les diplômes
L’égalité : un piètre mot qui n’existe que dans les dicos
Toi, t’avais quelques picots
Etranger, tu ressens la déception à chaque fois que t’entends le slogan du cocorico
C’est tout qui se fracasse, ton travail, tes certitudes
Ta vie, tes habitudes, en clair, tes espérances te tracasse
Beaucoup ne résistent pas, parfois la fin de l’histoire est tragique
Y’a que le regard que porte l’enfant qu’est magique
J’aurais voulu rester ce gosse que rien n’atteint
Qui s’endort le soir, avec l’envie de se lever le matin
La réalité est dure, on l’a subie parfois
Mais on s’oblige à l’accepter, parce qu’on a pas le choix
Malgré les déceptions, déceptions, déceptions
Déceptions
Malgré la déception, déception, déception, déception
Déception