Lyrics Nemir – Saiyan
Text:
Faites comme moi, essayez, faut saigner pour atteindre les 100K
Yeah, j’ai vue sur la route même en roulant sans phare
Eux et nous, c’est pas la même ; en plaquettes, en lamelles, pour de l’oseille, on se rend barge
Hey oh, j’ai trop d’flow, un/deux albums et on s’en va
Té-ma comment je l’aime, j’disais : «Aucun regret» mais, au fond de moi, je regrette un peu
Ouais, ouais, j’suis un Super Saiyan et j’ai le corps en feu
J’rentre dans l’game, dans l’périmètre, dis-leur qu’on va le faire, avec ou sans eux
T’sais, dans ma tête, c’est bizarre, mais y’a que quand je souffre que j’me sens mieux
Ouais, gros, j’suis dans l’truc donc je fuck les haters, nous, on s’en bat
Hey oh, j’ai trop d’flow, deux/trois albums et on s’en va, on s’barre
Faites comme moi, essayez, faut saigner pour atteindre les 100K
J’ai vue sur la route même en roulant sans phare
Té-ma comment je l’aime, j’disais : «Aucun regret» mais, au fond de moi, je regrette un peu
Ouais, ouais, j’suis un Super Saiyan et j’ai le corps en feu
J’rentre dans l’game, dans l’périmètre, dis-leur qu’on va le faire, avec ou sans eux
T’sais, dans ma tête, c’est bizarre, mais y’a que quand je souffre que j’me sens mieux
Ouais, ouais, j’suis un Super Saiyan et j’ai le corps en feu
J’rentre dans l’game, dans l’périmètre, dis-leur qu’on va le faire, avec ou sans eux
T’sais, dans ma tête, c’est bizarre, mais y’a que quand je souffre que j’me sens mieux
Ouais, gros, j’suis dans l’truc donc je fuck les haters, nous, on s’en bat
Hey oh, j’ai trop d’flow, deux/trois albums et on s’en va, on s’barre
Faites comme moi, essayez, faut saigner pour atteindre les 100K
J’ai vue sur la route même en roulant sans phare
Té-ma comment je l’aime, j’disais : «Aucun regret» mais, au fond de moi, je regrette un peu
Ouais, ouais, j’suis un Super Saiyan et j’ai le corps en feu
J’rentre dans l’game, dans l’périmètre, dis-leur qu’on va le faire, avec ou sans eux
T’sais, dans ma tête, c’est bizarre, mais y’a que quand je souffre que j’me sens mieux
Hey oh, j’ai trop d’flow, trois/quatre albums et on s’en va