Lyrics Niro – Outro
Text:
Déterminé, déterminé, déterminé
Del-bor aprés del-bor ils voulaient que j’vois un psy
Que j’lâche ma haine dans les gants d’boxe
J’écrivais des saletés d’rimes sur les quais d’la gare
Que des grandes bagarres dans les transports
J’ai démarré de mon quartier, pas un seul euro en poche
Après dix ans a galéré dans le porche
Soit j’niquais tout dans la rue, soit j’niquais tout dans l’rap
Déjà trop tard pour tout niquer dans l’sport
2005, Bouna et Zyed sont morts
On a mis les pieds dehors pour caillasser les porcs
Ils ont été acquittés quand ils ont quitté l’banc
Venez pas nous dire ici qu’on a dépassé les bornes
Dix piges après j’regrette pas d’avoir tout niqué
J’regrette d’avoir été bête mineur et broliqué
J’ai fait le tour de la France en train sans payer l’ticket
Situation familiale très très compliquée
Ça fait plus d’quinze piges que j’ai commencé à kicker
Si j’voulais plus de fric et plus de ‘tasses à ma table
J’t’aurais glissé des douilles de-spee c’est pas compliqué
Des bails de salsa comme le font les rapstars
Que tu kiffes aujourd’hui mais hier tu les critiquais
Viens pas faire le tah sah tous tes gars le savent
J’représente les vrais rats de la rue, toute ma vie j’l’ai revendiqué
On a les mains sale, ça c’est ineffaçable
Sachez qu’on s’en bat les couilles d’leur public et d’leur vérité
Même si j’le voulais j’aurais pas l’temps d’aller vérifier
Les mecs de cité sucent la bite des mecs de la hype
Les mecs de la hype sucent la bite des mecs de cité
Bien sûr que j’baise la tendance et j’fais ça proprement
J’ai démarré de mon quartier, pas un seul euro en poche
Après dix ans a galéré dans le porche
Soit j’niquais tout dans la rue, soit j’niquais tout dans l’rap
Déjà trop tard pour tout niquer dans l’sport
2005, Bouna et Zyed sont morts
On a mis les pieds dehors pour caillasser les porcs
Ils ont été acquittés quand ils ont quitté l’banc
Venez pas nous dire ici qu’on a dépassé les bornes
Dix piges après j’regrette pas d’avoir tout niqué
J’regrette d’avoir été bête mineur et broliqué
J’ai fait le tour de la France en train sans payer l’ticket
Situation familiale très très compliquée
Ça fait plus d’quinze piges que j’ai commencé à kicker
Si j’voulais plus de fric et plus de ‘tasses à ma table
J’t’aurais glissé des douilles de-spee c’est pas compliqué
Des bails de salsa comme le font les rapstars
Que tu kiffes aujourd’hui mais hier tu les critiquais
Viens pas faire le tah sah tous tes gars le savent
J’représente les vrais rats de la rue, toute ma vie j’l’ai revendiqué
On a les mains sale, ça c’est ineffaçable
Sachez qu’on s’en bat les couilles d’leur public et d’leur vérité
Même si j’le voulais j’aurais pas l’temps d’aller vérifier
Les mecs de cité sucent la bite des mecs de la hype
Les mecs de la hype sucent la bite des mecs de cité
Bien sûr que j’baise la tendance et j’fais ça proprement
Prends tout par la violence, j’peux plus faire autrement
J’vais sortir un CD, quand j’vais tout niquer
Ils vont m’chroniquer, m’comparer au buzz du moment
Le manque de moyens t’affaiblit, la sère-mi t’a sorti du lit
La vie c’est dur et pour la baiser faut avoir les reins solides
Certains investissent dans un bolide, d’autres investissent dans un brolique
L’économie est souterraine quand t’as les condés sur les côtes, tous tes rêves sont abolis
T’es au shtar, tu comptes les années, les mois, les journées, les heures et les secondes
En attendant la condi’, t’affrontes ta solitude en attendant la folie
On a volé, dealé bien avant les premiers Panasonic
Laissé notre ADN dans les cabines téléphoniques
Comparez pas mes acolytes à ces comiques
Que des Tony, que des Pablo, que des Clyde, que des Bonnie que des thos-my
Motherfuck, bientôt j’vais les terminer
J’reviens plus déterminé
J’vais sortir un CD, quand j’vais tout niquer
Ils vont m’chroniquer, m’comparer au buzz du moment
Le manque de moyens t’affaiblit, la sère-mi t’a sorti du lit
La vie c’est dur et pour la baiser faut avoir les reins solides
Certains investissent dans un bolide, d’autres investissent dans un brolique
L’économie est souterraine quand t’as les condés sur les côtes, tous tes rêves sont abolis
T’es au shtar, tu comptes les années, les mois, les journées, les heures et les secondes
En attendant la condi’, t’affrontes ta solitude en attendant la folie
On a volé, dealé bien avant les premiers Panasonic
Laissé notre ADN dans les cabines téléphoniques
Comparez pas mes acolytes à ces comiques
Que des Tony, que des Pablo, que des Clyde, que des Bonnie que des thos-my
Motherfuck, bientôt j’vais les terminer
J’reviens plus déterminé