Lyrics Panama Bende – Fumée Verte
Text:
Ormaz:
Hey, hey, hey, hey
Hey, hey, hey
J’voulais du biff, la bonne affaire m’a filé sous le nez, fils
Béni, j’mène mon clan au fil du temps, j’me crispe car
J’veux pas une vie d’smicard ni smoke ma dernière carte en gold
«Golf avec Obama» comme dit Makala et l’Don
Wann, t’étonne pas promis, y’a une carrière sur l’trône
Les faux causent pour causer l’tord à la B.E.N.D.E M.O.B
Écoute du MOB avec ta miss au pied, jeune croupier
Tous accroupis, j’opère au feeling, obligé d’kicker
Aucun disque est rayé comme mon maillot d’N.Y.C
J’pourrais m’noyer si tu fais déborder l’vase
Bouge la tête avant l’arthrose, au bal, j’venais monopoliser l’mic’
Nike Air Max dans la berline et j’me casse sur Paris
Sud, les salissures obligent mes gars à faire du sale
Sud et ville obscure, inhale la pure beuh
Les yeux purple, on fout le zbeul dans ton pub
Ouais nique ton pub’, c’est évident fils
Fuis si t’assumes pas l’effet surprise
J’vous la mets mais sur qui j’pourrais jurer miss
Un jour, au jour le jour, autour de moi les vautours guettent
Guettent, guettent, tendus par les condés sans tech
Nique, j’m’entête quand j’te dis qu’l’être humain est un bon
C’est perplexe mais bon, j’relativise sans faire l’mec
Et j’ose te dire des choses qu’on expose en fond d’puis
Pute, va réviser au pire, j’me retire vite
J’vois qu’tes pélos s’tisent et s’buttent, moi ?
J’veux l’salaire d’Ancelotti ou plus, et pour m’branler j’achèterais l’bus
Avant la fin d’la peine que j’purge, j’veux la réussite ça urge
Merde (merde, merde)
Elyo:
Quand on ride la ville avec les fenêtres ouvertes
Il en sort des nuages de fumée toute verte
Toujours bien accompagnés, toujours bien accompagnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Quand on ride la ville avec les fenêtres ouvertes
Il en sort des nuages de fumée toute verte
Toujours bien accompagnés, toujours bien accompagnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Ouais, qu’on est condamnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Ouais, qu’on est condamnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Eh yo, c’est Elyo et Lesram, attention à l’arrivée des vétérans
On fait les raps donc il est préférable qu’vous tiriez la révérence
Quand y’a plus de euh-b, on a la clope au bec comme James Dean
Roule avec des tops modèles donc les cojones vides
Tout les samedis mes nomades veulent pécho d’la skunk
On domine dans tout les domaines, ça fait : headshot, strike, dunk
Mec on rappe classe on mérite bien, c’est l’principal but
Lifestyle américain, nos vies : des caricatures
Et ça fait middle kick dans l’nez, man, de ville en ville, on aime ride
Ou roder sous herbe verdâtre comme un émeraude
Rap musique, c’est par ici qu’ça s’passe
J’viens pas juste de la ville mais des Paris South Side
J’rappe pour mes reufs et mes princesses qui rêvent
Rouler en Porsche ou en Benz
Veulent les poches plein de pèze d’puis leurs quinze berges
On est l’futur, donc on s’met juste plus que bien
Luxure et lèvres pulpeuses, j’suis sûr de rien mais plus j’fume
Plus j’me dis que j’devrais rouler un autre pur sur ta chute de reins
J’déconne ap, on a un réseau large, j’connais mes soss’ par cœur
Trop chaud pour l’thermostat ou le ghetto blaster
Les femmes nous insultent la nuit, r’viennent nous chouchouter l’jour
L’amour, c’est comme la roulette russe sauf qu’on est sous bulletproof
Lesram:
Ok c’est comment ? J’crois qu’le sheitan est tous les jours sous came
Il fume sa Camel juste avant d’tirer un sac à main
Ah ça qué-man, j’ai toute une miff’ et j’peux pas penser qu’à moi
Survêt’ ou pe-ssa camo, pas tous un passé commun
Peace aux Comores pour mon tonton Kader
On fait du bon son, t’adhères, j’fume à fond mon niaks d’herbe
Et passe à Camille, Passi, Koma dans mes écouteurs
J’me pavane en scooter, 310 au compteur, sous un soleil d’équateur
J’passe au quartier, y’a plein d’enquêteurs, j’connais un que-tur
Il m’dit : «Oh que non, un inconnu s’est fait caner au cutter»
Faut mailler, faut du beurre, j’m’en bats d’tes producteurs
Parfois, ma gueule, face à ma feuille, j’m’arrache les mots du cœur
J’suis bien dans mon décor, le rap, j’l’ai mis d’accord
Mais sache qu’il m’aide encore à repousser mes blèmes-pro
Comme la main d’Iker Casillas, moi aussi j’veux ma liasse
Faut qu’la famille brasse, on s’allie à la street, mange tous les jours fajitas
Marsou le matou a.k.a Lesram, mon alias
Allez ouste, tout les MC’s sont à l’ouest
Elyo:
Quand on ride la ville avec les fenêtres ouvertes
Il en sort des nuages de fumée toute verte
Toujours bien accompagnés, toujours bien accompagnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Quand on ride la ville avec les fenêtres ouvertes
Il en sort des nuages de fumée toute verte
Toujours bien accompagnés, toujours bien accompagnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Ouais, qu’on est condamnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Ouais, qu’on est condamnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Assaf:
Ok, les amigos sont àl, prêts pour la fonsdale
On s’cale des gros G’s et dès qu’on sort on s’caille
On s’taille des bars avec des meufs, du bon sky
Bronche ap derrière l’comptoir fais-moi d’la sson-boi
Bonsoir c’est cheum on t’capte, t’es fonscar
D’vant tes darons, en plus t’as même pas d’ton-car
On parle de tout, de rien
Merci ASF pour ton flow de rien
J’écris un texte, comme ça que je vis, hein
Le bien net peut être vilain, pire qu’un fils d’inceste ou naître bilingue
Ouais, j’ai pas encore démarré, ça les fait marrer
Feraient mieux d’se préparer, le vent tourne quand monte la marée
J’ai décalé des pierres pour pouvoir observer la vue
Dans l’rap, on perd de la thune, c’est l’constat amer de la vue
Askip faire de la musique frère, c’est faire de la flûte
L’appel de la gravité, c’est l’appel de la chute
Mais la vie, eh yo, alors j’ride, ride, ride
Bien quand j’fais du son, ma tête s’évade-vade-vade
Groove dans l’sang depuis la naissance, faire du sale : on essaie
Mais dans c’monde y’a même plus d’essence, on t’laissera pas plus d’deux essais
J’crois qu’tu vois qu’on est sept et qu’on a tous un peu d’aisance
Notre bolide : c’est les textes, la force de nos fans : c’est l’essence
Elyo:
Quand on ride la ville avec les fenêtres ouvertes
Il en sort des nuages de fumée toute verte
Toujours bien accompagnés, toujours bien accompagnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Quand on ride la ville avec les fenêtres ouvertes
Il en sort des nuages de fumée toute verte
Toujours bien accompagnés, toujours bien accompagnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Ouais, qu’on est condamnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés
Ouais, qu’on est condamnés
C’est à ce mode de vie d’barge qu’on est condamnés