Lyrics Sadek – JDJ
Text:
Johnny de Janeiro
Hein, hein
Ils vont racheter Paris, les sicarios
Toute une jeunesse propulsée dans le crime
D’Aulnay-sous-Bois, ou bordel de Rio
Y a de moins en moins de postulants à l’usine
Y a de la coca’ jusqu’en Chine
Des chrysanthèmes, se déposent sur les autels : des ex-barons de la ville
Parce qu’on est tous juste des êtres faits d’argile
Ma belle, fais pas la maline, d’ici dix piges tu jalouseras les baleines
Ouais y a du laisser-aller et le silicone ne peut pas tout effacer
Mets moi un Jack sans glaçons
Trahir les miens ? Sans façon
Nous on sourit devant l’acier, eux ils frétillent dans l’avion
J’suis tout en haut de Vidigal
Mer-fu du tah de Ketama que j’inhale
Marginal mais matinal
Paradoxal, comme Francis Lalanne dans le stup
Si ça marche pas un peu plus, j’ai déjà des idées : faire des applis sur iPad
Un truc révolutionnaire, qui changerai ta vie, comme se faire livrer des putes
Sur un ied-p je fais la guerre à ces ploucs
Sur un yacht fon-fon’ avec Zepek
Ghetto Youth dans une suite au Marriott
Room service que à base de «t’inquiètes»
«T’inquiètes mon pote y’a du liquide, qu’est-ce tu parles de carte bleu ?
Parce que c’est facile à perdre ou oublier comme l’Intertoto»
Ça a toqué : «Bonsoir les filles, vous buvez quoi ? Pas de photos
Enlève ta veste, garde la, j’m’en bats les couilles, c’est toi qui vois
On va passer la deuxième, faites pas blehni les choqués
Qu’est ce que vous foutez à 4 du mat fonce-dé dans un hôtel paumé, hein ?»
Y a de moins en moins de postulants à l’usine
Y a de la coca’ jusqu’en Chine
Des chrysanthèmes, se déposent sur les autels : des ex-barons de la ville
Parce qu’on est tous juste des êtres faits d’argile
Ma belle, fais pas la maline, d’ici dix piges tu jalouseras les baleines
Ouais y a du laisser-aller et le silicone ne peut pas tout effacer
Mets moi un Jack sans glaçons
Trahir les miens ? Sans façon
Nous on sourit devant l’acier, eux ils frétillent dans l’avion
J’suis tout en haut de Vidigal
Mer-fu du tah de Ketama que j’inhale
Marginal mais matinal
Paradoxal, comme Francis Lalanne dans le stup
Si ça marche pas un peu plus, j’ai déjà des idées : faire des applis sur iPad
Un truc révolutionnaire, qui changerai ta vie, comme se faire livrer des putes
Sur un ied-p je fais la guerre à ces ploucs
Sur un yacht fon-fon’ avec Zepek
Ghetto Youth dans une suite au Marriott
Room service que à base de «t’inquiètes»
«T’inquiètes mon pote y’a du liquide, qu’est-ce tu parles de carte bleu ?
Parce que c’est facile à perdre ou oublier comme l’Intertoto»
Ça a toqué : «Bonsoir les filles, vous buvez quoi ? Pas de photos
Enlève ta veste, garde la, j’m’en bats les couilles, c’est toi qui vois
On va passer la deuxième, faites pas blehni les choqués
Qu’est ce que vous foutez à 4 du mat fonce-dé dans un hôtel paumé, hein ?»
La défonce, la descente qui déchante le buzz
J’ai pas vu un seul ange à Los Angeles
Une fausse couche, la débauche m’as tué dans l’œuf
C’est bientôt la fin là, désolé les reufs
Des visions m’indiquent toutes que la fin est proche
Des météores toucheront la Gare de l’Est
Hein, hein, il paraît qu’en enfer il neige
J’ai pas vu un seul ange à Los Angeles
Une fausse couche, la débauche m’as tué dans l’œuf
C’est bientôt la fin là, désolé les reufs
Des visions m’indiquent toutes que la fin est proche
Des météores toucheront la Gare de l’Est
Hein, hein, il paraît qu’en enfer il neige
La défonce, la descente qui déchante le buzz
J’ai pas vu un seul ange à Los Angeles
Une fausse couche, la débauche m’as tué dans l’œuf
C’est bientôt la fin là, désolé les reufs
J’veux m’barrer à Rio de Dinero, hein
Appelle-moi Johnny de Janeiro, hein
Rio, Rio, Rio
Rio, Rio, Rio
Rio de Dinero, Johnny de Janeiro
Rio de Dinero, Rio, Rio de Dinero, hein
Oulala, oulala
Qui voilà ?
Qui voilà ?
Johnny de Janeiro
Johnny de Janeiro