Lyrics Timal – Je Sais
Text:
Je sais qu’t’aimerais me voir mais bon j’ai le moral à zéro
Je t’esquiverai ce week-end juste pour rester dans la zer
Faut comprendre qu’avec le bon du quartier je suis sé-po
Et qu’tu t’énerves quand tu dis que j’prends mes airs
J’irai me bourrer en scrète sans passer par le bar
Et tu me dis: «t’es où?» Quand je traîne tard le soir
J’fume mon dernier pétard bloqué je parle pas
Me cherche pas tu sais qu’j’suis dans dans la ville
Au pied d’une tour, que j’pense à ma ville
Je resterai quetou c’est pour la vida
Ici on charbonne, gros on vit pas
Je sais, que les jaloux nous analysent
Hi hey, j’fume la beuh qui paralyse eh
Je sais, que les jaloux nous analysent
Hi hey, j’fume la beuh qui paralyse eh
Et puis j’suis beaucoup trop ter-ter j’crois qu’on court à perte
J’ai connu la paire d’Asics, attendre mes loss’ d’vant la porte
Faut comprendre que j’fais pas la fête, j’me tue juste à la verte
Et doucement calé ma copine prend pas la tête
Y’a que quand on dort qu’on voit le temps passé vite
Et j’ai pas d’batterie quand tu me dis: «tiens, passe me voir»
J’traîne avec des mecs qui ont rarement le casier vide
J’sors de G.A.V tant pis si tu veux pas me croire
Et j’serai khabat quand on se reverra
Encore une fois j’te promet la French Riviera
Mais tu me dis: «je mange, un jour ça se saura»
Pour l’instant tu fais que dalle, faudrait qu’tu rêves moins
Me cherche pas tu sais qu’j’suis dans dans la ville
Au pied d’une tour, que j’pense à ma ville
Ici on charbonne, gros on vit pas
Je sais, que les jaloux nous analysent
Hi hey, j’fume la beuh qui paralyse eh
Je sais, que les jaloux nous analysent
Hi hey, j’fume la beuh qui paralyse eh
Je laisse, toucher, deux ar’, sous shit, le soleil coucher
Je laisse, toucher, deux ar’, sous shit, le soleil coucher
Me cherche pas tu sais qu’j’suis dans dans la ville
Au pied d’une tour, que j’pense à ma ville
Je resterai quetou c’est pour la vida
Ici on charbonne, gros on vit pas
Je sais, que les jaloux nous analysent
Hi hey, j’fume la beuh qui paralyse eh
Je sais, que les jaloux nous analysent
Hi hey, j’fume la beuh qui paralyse eh
Je laisse, toucher, deux ar’, sous shit, le soleil coucher