Lyrics Vald – Joffrey
Text:
«- Merde, y’a d’la musique !
— Et alors ?
— J’ai horreur de ça, surtout les cordes… barrons-nous, ça sent mauvais»
M’regarde pas de travers, qu’est-ce qui se passe ? J’fais des doigts derrière l’plexiglas
Puis prends la photo avec la fumée, bats les couilles d’être affublé
Comme l’année dernière, adulez : avé Joffrey, l’cavu net
Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey
Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey
Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey
Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey
M’regarde pas à travers, qu’est-ce qu’il s’passe ? J’fais des doigts derrière l’plexiglas
J’rappelle jamais, ça m’déshydrate ; me demande pas d’feat, fume des chichas
Puis prends la photo avec la fumée, bats les couilles d’être affublé
Comme l’année dernière, adulez : avé Joffrey, l’cavu net
Fais le fou, j’peux t’acculer, plus calé qu’un mec à lunettes
C’est mécanique, je fais qu’allumer, troque la paix, pas les calumets
J’ai la fourche et l’allumette, j’ai la frousse et la lumière
Tu fais le boug’zer qu’a du flair, mais t’avoues qu’elle t’a dupé
Tu verras pas les backstages, saleté, ‘té-ma’ ta sale tête
On dirait une face B sur iPhone 3G (3G, 3G, 3G, j’crois j’ai 3g)
J’crache des poèmes comme une saleté d’bohèmien
J’parfais mon dessein, tu caresses nos raisins
Sois contre moi, je ferai genre t’as raison pour qu’tu penses que t’es chaud puis qu’on devienne poto
Que j’t’invite au ‘Do-Mac’, que j’mette de la ricine dans ton foutu Big Mac
C’est net et précis mais j’le dis, j’le redis : mort à tous nos ennemis
Que le monde soit joli, que l’on soit tous des frères
Ouais, ouais, ouais, ouais, que le monde soit joli, tant qu’c’est moi qui domine
Avé Joffrey
Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey
Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey
Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey, Joffrey
M’regarde pas de travers, qu’est-ce qui se passe ? J’fais des doigts derrière l’plexiglas
J’rappelle jamais, ça m’déshydrate ; me demande pas d’feat, fume des chichas
Puis prends la photo avec la fumée, bats les couilles d’être affublé
Comme l’année dernière, adulez : avé Joffrey, l’cavu net
J’m’en fous qu’ces salopes squirt dans des salles obscures
J’sais qu’les taros sucent sa mère, prie qu’les allocs ne meurent jamais
J’fais pas d’cinéma, si j’bédave, j’bois d’l’eau minérale
J’déglingue chez mes parents, criez pas
Spliffs et alcool, c’est idéal
Cé-su mon gland, ‘cé-su’ ma glande pinéale
Mon troisième œil, vous croyez que j’ris, hélas
Un spliff et hasta la vie géniale
J’aime leur piétiner l’crâne
J’aimerais, j’aimerais l’filmer mais c’est illégal
J’marche droit sur une rive étroite
Par temps gris, j’m’égare, je fais des p’tits écarts (pardon !)
L’amour : une grande question qui t’épate
J’demande combien ? Réponse immédiate
Peau blême et globes figés à l’effigie d’mon totem
J’me promène, ils s’défilent comme ils évitent le problème
J’ai dit : peau blême et globes figés à l’effigie d’mon totem
J’me promène, ils s’défilent comme ils évitent le problème
Joffrey !
M’regarde pas de travers, qu’est-ce qui se passe ? J’fais des doigts derrière l’plexiglas
J’rappelle jamais, ça m’déshydrate ; me demande pas d’feat, fume des chichas
Puis prends la photo avec la fumée, bats les couilles d’être affublé
Comme l’année dernière, adulez : avé Joffrey, l’cavu net
M’regarde pas de travers, qu’est-ce qui se passe ? J’fais des doigts derrière l’plexiglas
J’rappelle jamais, ça m’déshydrate ; me demande pas d’feat, fume des chichas
Puis prends la photo avec la fumée, bats les couilles d’être affublé
Comme l’année dernière, adulez : avé Joffrey, l’cavu net