Lyrics Vald – Solo
Text:
J’ai demandé poliment mais le bonheur n’offrait pas d’échantillons
Puis j’ai croisé mon dealer et lui m’a proposé quelques champignons
J’ai demandé à une femme qui m’a dit de ne pas faire de sentiments
Et y’a Lulu pour mon âme qui pouvait bien lâcher quelques centimes
Ici personne veut de mal mais tu vas rester un gentil centurion
Y a des gosses, qu’des parents amochent il reste des traces de sang sur l’ceinturon
La vie, c’est pas rose, c’est même sale, les têtes s’empilent comme des dominos
Et le reste de l’équipe mange des miettes se contentant de peu comme des animaux
Ce n’est pas un détail, ce n’est pas un détail, vous êtes du bétail, vous êtes du bétail
Je n’ai que mes larmes, je n’ai que mes larmes, ils n’ont que des armes, ils n’ont que des armes
Dis-toi qu’on nous décimera, je sais, j’observe
Tu ferais bien de toucher du bois, t’upload dans l’serveur
Poto, tu vas faire une croix, sur le magot dans l’cercueil
Tu vas pas changer l’histoire, ça grouille d’ancêtres
T’as compris des bails, t’as perdu bien plus que la raison
T’as choisi le mal, tu voudrais plus que ta ration
J’ai pris de l’ail, y a des vampires, c’est la saison
Courir après la maille, c’est bien la pire des obsessions
T’éteins des flammes, t’es dans tes flammes et l’enfer te veut
Si un feu de paille brûle tes lèvres, ne fais pas de voeu
Tu crois qu’c’est l’âge, t’as raison le temps, lui, parle peu
Ce n’est qu’un mirage, personne ne viendra t’ouvrir les yeux
J’ai demandé poliment mais le bonheur n’offrait pas d’échantillons
Puis j’ai croisé mon dealer et lui m’a proposé quelques champignons
J’ai demandé à une femme qui m’a dit de ne pas faire de sentiments
Et y’a Lulu pour mon âme qui pouvait bien lâcher quelques centimes
Ce n’est pas un détail, ce n’est pas un détail, vous êtes du bétail, vous êtes du bétail
Je n’ai que mes larmes, je n’ai que mes larmes, ils n’ont que des armes, ils n’ont que des armes
Dernière la serrure, des destins tragiques, on en sait rien
Et des rêves qui, lacérés, annoncent un futur incertain
Si je perds mes souvenirs, ne me rappelle rien, parfois c’est mieux
Reprends tes frayeurs, j’ai vaincu des démons, toi tu rêvais d’être acquéreur
C’est même pas la meilleure, y a que le diable qui n’accouchera jamais dans la douleur
Des vertes et des pas mûres, je te jure que t’en verras la couleur
Poto, pour ta gouverne, lorsque tes oreilles sifflent, c’est que Lucifer, lui, marche à couvert
Ils t’épient de dos, parfois dans tes textes ils viennent t’indiquer le flow
Tu fais le chaud mais on t’a dicté le rôle
Toi qu’est si malin ben va donc piquer le fauve
On se réveille de bon matin même si l’envie fait défaut
Essayant de fuir tous ce que la ville fait de fou
A présent les ministres veulent te fister le boule
Ne croque pas cette vie à pleine dents de pisse est le goût
J’ai demandé poliment mais le bonheur n’offrait pas d’échantillons
Puis j’ai croisé mon dealer et lui m’a proposé quelques champignons
J’ai demandé à une femme qui m’a dit de ne pas faire de sentiments
Et y’a Lulu pour mon âme qui pouvait bien lâcher quelques centimes
Ici personne veut de mal mais tu vas rester un gentil centurion
Y a des gosses, qu’des parents amochent il reste des traces de sang sur l’ceinturon
La vie, c’est pas rose, c’est même sale, les têtes s’empilent comme des dominos
Et le reste de l’équipe mange des miettes se contentant de peu comme des animaux
