Текст Damso – Je Nous Mens (Carte Blanche France Inter)
Текст:
Y’a 24 heures dans un jour
Yeah, y’a 24 heures dans un jour et le jour se lève avant 6 heures du matin
Se couche après 6 heures du soir
Quand j’me lève pour bosser jusqu’au p’tit matin
J’dors plus, j’ai plus b’soin de rêve
J’dors plus, j’ai plus b’soin de rêve
L’oreiller me voit autant de fois qu’les yeux de mon gosse
C’est-à-dire peu souvent, car, trop souvent, j’suis absent de moi-même
Nurofen dans les veines, sur la scène j’t’ai vue tapie dans robe rouge
On a ken, on s’est déshabillé pour les mêmes raisons
Quelques frissons à répétition jusqu’à scission du réel
Ma chair dans la sienne faisant les mêmes mouvements que l’on doit faire pour faire des enfants
C’que j’essaye de dire c’est que j’sais pas quoi dire d’autre à part c’qu’on doit dire quand on s’connait pas vraiment :
«Salut ça va ? Moi, c’est Damso, j’me présente car jusqu’à présent j’connais pas ton prénom»
La vie c’est simple et compliqué car c’est c’que j’pense que t’es qui sera ton identité pour moi
Pareil pour toi vis-à-vis d’moi
Quand on y pense, j’pense qu’on se connaitra jamais vraiment
Quand tu dis qu’tu couches pas l’premier soir sache que l’centième soir j’serai pas si différent
Forcé par le forcément qui s’installe à chaque début d’discussion
Tout ça parce qu’on l’a fait
On s’éloigne parce qu’on s’dit je t’aime
On s’éloigne parce qu’on s’dit je t’aime sans vraiment savoir c’que c’est
L’autre pense qu’elle le pense mais son ex est dans sa tête
Malgré qu’j’ai ma bite dans sa schnek
Et c’est dans sa schnek que j’ai compris qu’ma bite et mon être
Sont qu’une location pour elle
Au prix de quelques mots doux, «love you» tout ça
J’ai cru voir dans ses draps c’que je voulais voir dans ses bras : l’amour
Intensément je me goure, sans sentiment j’fais la cour
Jamais le jour, que la nuit
J’dors plus, j’ai plus b’soin de rêve
L’oreiller me voit autant de fois qu’les yeux de mon gosse
C’est-à-dire peu souvent, car, trop souvent, j’suis absent de moi-même
Nurofen dans les veines, sur la scène j’t’ai vue tapie dans robe rouge
On a ken, on s’est déshabillé pour les mêmes raisons
Quelques frissons à répétition jusqu’à scission du réel
Ma chair dans la sienne faisant les mêmes mouvements que l’on doit faire pour faire des enfants
C’que j’essaye de dire c’est que j’sais pas quoi dire d’autre à part c’qu’on doit dire quand on s’connait pas vraiment :
«Salut ça va ? Moi, c’est Damso, j’me présente car jusqu’à présent j’connais pas ton prénom»
La vie c’est simple et compliqué car c’est c’que j’pense que t’es qui sera ton identité pour moi
Pareil pour toi vis-à-vis d’moi
Quand on y pense, j’pense qu’on se connaitra jamais vraiment
Quand tu dis qu’tu couches pas l’premier soir sache que l’centième soir j’serai pas si différent
Forcé par le forcément qui s’installe à chaque début d’discussion
Tout ça parce qu’on l’a fait
On s’éloigne parce qu’on s’dit je t’aime
On s’éloigne parce qu’on s’dit je t’aime sans vraiment savoir c’que c’est
L’autre pense qu’elle le pense mais son ex est dans sa tête
Malgré qu’j’ai ma bite dans sa schnek
Et c’est dans sa schnek que j’ai compris qu’ma bite et mon être
Sont qu’une location pour elle
Au prix de quelques mots doux, «love you» tout ça
J’ai cru voir dans ses draps c’que je voulais voir dans ses bras : l’amour
Intensément je me goure, sans sentiment j’fais la cour
Jamais le jour, que la nuit
Parole de sourds cherchant l’ouïe
Chez l’autre pour un oui et un non
Forcément je me mens, je lui mens
Conclusion : je nous mens en même temps
Donc finalement c’est mort
Chez l’autre pour un oui et un non
Forcément je me mens, je lui mens
Conclusion : je nous mens en même temps
Donc finalement c’est mort