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Django – Fable

Исполнители: Django
обложка песни

Текст Django – Fable

Текст:

Yeah

Dans la vie j’ai tellement de mal à faire simple, j’ai l’impression d’interpréter l’ennemi de Villeneuve
Je n’ai pas besoin d’amis dans ma tête on est dix-neuf,dans la théorie du chaos j’ai refait le destin
Je ne me livre que très peu comme un grimoire timide,enveloppé dans la brume comme le village Kiri

Tu me dis que t’as des potos j’ai des pirates sinistres,de noir vêtu près de la cité de Minas Tirith
Je ne connais que la frustration, je ne sais pas ce que je veux mais je sais ce que j’fuis
J’écoute mes pulsations, j’ai trouvé la femme de mes rêves au sein d’Elfen Lied (squad)
J’opère dans la nuit comme le docteur Tenma, j’impose le silence qu’Anthony scande
J’ai fréquenté la névrose et la torpeur j’m’échappe, à ton enterrement, j’suis Boris Vian
Partager l’angoisse est absurde, j’ai dû pratiquer l’Inception, j’efface mes peurs
Pour le moment j’expie tous les mots dans l’obscur, je ne connais que la honte comme Fassbender
J’suis dans la forêt patte de jaguar, toi tu es Yajirobe : tu n’as pas de techniques
Byakugan je peux voir qu’ils n’ont aucune sagesse j’ai la coiffe prespic
Tapis dans l’ombre, les cristaux s’élèvent, j’ai bien plus de vices que Méphistophélès
Marvin Gaye Seu Jorge, je voudrais être un noir comme Nino Ferrer
Bitch Kemo Sabe, j’arrive j’suis comme Samuel Jackson
Frelon j’ai le time-to-kill, mais l’oiseau ne chante plus quand les cartouches sifflent

J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre
J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre
J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre
J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre

Mon ami c’est quoi c’bordel, tu veux porter l’œil à George Orwell
J’ai vu le Beretta planqué dans le porte-jarretelles,évidemment je ne t’apprécie qu’en post-mortem
Ils sont tombés dans le piège (Trap), partager ma vie c’est pas un fairy-tale
Tu ne me verras pas souvent comme la vérité, tu n’as ni queue ni tête comme Péritel
Suicidaire, assassin porte une arme dans la manchette,américain le poing, mais japonaise est la planchette
Passe-moi ton cœur, j’écris «ma pute est téméraire», je ne crains ni le calme, ni la tempête
J’ai entendu la sorcière, fils de pute, tu m’as laissé pour mort
Mes ennemis sont des projections de subconscient, absence de corps
Tu dis que t’es fort, sois plus précis s’te plaît

Ces rappeurs font des rêves où je n’existe pas
Pull-up en moto comme Ryan, maîtrise le piège façon Die Hard
Le magnétophone s’appelle Diane, Anubis sur le médaillon, jeune Amédée venu d’ailleurs (hé)
J’entrevois la vie comme un jeu d’arcade, je me sens seul depuis que j’ai cinq berges
Je ne connais pas l’abandon comme un spartiate, mais je reviens sur mes pas comme le Prince Perse
Pourquoi les Hommes n’arrêtent pas de parler ? La plupart vont se noyer dans flasque carrée
Dis-moi pourquoi tu rappes comme en 2010, face aux chats de gouttière je suis raz-de-marée

J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre
J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre
J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre
J’aime bien ton cadavre, j’aime bien ton cadavre