Текст Fababy – Avec La Haine
Текст:
Un deux, un deux, sur l’instru j’me cale, ok
Entre cités, pour s’entendre, on laisse les balles dialoguer
Si la mort passe et m’congèle, personne pourra m’couvrir, euh
J’suis né par césarienne, donc j’suis p’t-être né pour faire souffrir, oh !
Que des punchlines que j’véhicule
Toi, paraît qu’t’es cru ou têtu, mais devant un flingue tu t’es tu
J’rappe comme un CBR sans casque : vroum, gamos qui s’encastre : boum
Ouais j’kiffe quand ça prie, eux ils aiment quand ça douille
J’sais qu’les meufs transforment les mecs bons en bâtards
Que les Famas transforment les passeurs en passoires, bois un peu d’eau pour voir
J’écris des conneries, donc même ta conne rit
Non j’rappe pas pour sortir du lot, j’ai l’flow d’la loterie
Les loups deviennent violents, les bergers peuvent rien faire
Les tits-pe sont intenables, il pensent qu’a gter-doi en concert
Pas d’ma faute s’il sont trop dar, p’tain le couplet s’annonce bad
Ton amitié j’la trouve glissante, khoya, ma confiance rétrograde
Là j’fonce là, bonita, vomis pas, c’est ris-Pa
La symphonie des chargeurs, ou la danse des Ritals
Des barrettes sous mon lit pour m’sentir moins seul
L’ascenseur social t’asphyxie, l’illicite soutient les claustrophobes
L’plan ça fait deux mois qu’j’le filoche, j’me suis levé à l’aube
Suffit qu’ces chiens d’keufs passent et mon plan tombe à l’eau
J’veux l’rrain-té à Marlo, j’te laisse faire l’mariole
Les mecs en hass fouteurs de zbeule finissent comme Bubulls, baby
Déjà qu’ton casier t’enfonce, le baveux en rajoute
F.A.B. dit qu’c’est la larme qu’aura fait déborder la joue
Embrouille d’brolic, bécane, dans l’Neuf-Trois c’est bien connu
Que l’État nous diabolise pas, ils l’ont bien fait pour Coluche, coño
À n’pas confondre : «Muchachos» et «Moudjahid»
C’est la banlieue contre l’État, et là, c’sera pas à nous d’chahed
Toi, paraît qu’t’es cru ou têtu, mais devant un flingue tu t’es tu
J’rappe comme un CBR sans casque : vroum, gamos qui s’encastre : boum
Ouais j’kiffe quand ça prie, eux ils aiment quand ça douille
J’sais qu’les meufs transforment les mecs bons en bâtards
Que les Famas transforment les passeurs en passoires, bois un peu d’eau pour voir
J’écris des conneries, donc même ta conne rit
Non j’rappe pas pour sortir du lot, j’ai l’flow d’la loterie
Les loups deviennent violents, les bergers peuvent rien faire
Les tits-pe sont intenables, il pensent qu’a gter-doi en concert
Pas d’ma faute s’il sont trop dar, p’tain le couplet s’annonce bad
Ton amitié j’la trouve glissante, khoya, ma confiance rétrograde
Là j’fonce là, bonita, vomis pas, c’est ris-Pa
La symphonie des chargeurs, ou la danse des Ritals
Des barrettes sous mon lit pour m’sentir moins seul
L’ascenseur social t’asphyxie, l’illicite soutient les claustrophobes
L’plan ça fait deux mois qu’j’le filoche, j’me suis levé à l’aube
Suffit qu’ces chiens d’keufs passent et mon plan tombe à l’eau
J’veux l’rrain-té à Marlo, j’te laisse faire l’mariole
Les mecs en hass fouteurs de zbeule finissent comme Bubulls, baby
Déjà qu’ton casier t’enfonce, le baveux en rajoute
F.A.B. dit qu’c’est la larme qu’aura fait déborder la joue
Embrouille d’brolic, bécane, dans l’Neuf-Trois c’est bien connu
Que l’État nous diabolise pas, ils l’ont bien fait pour Coluche, coño
À n’pas confondre : «Muchachos» et «Moudjahid»
C’est la banlieue contre l’État, et là, c’sera pas à nous d’chahed
Si j’t’ai loupé, ben c’est qu’le calibre s’est enrayé
Pour t’què-n’ j’ai pas besoin d’Ryu, j’ai besoin d’seille-o
Nique les manifs, ouais : ça nique ma paire d’Feiyue
Des hors-la loi, quoi, quoi, là, ouais, c’est nous
93, on va pas t’sher-cla et s’cher-ca
Si on as un truc à t’dire, on viendra l’ché-cher’ dans ton tier-quar
Les colons fouettent l’histoire, donc j’rappe le dos nu
Même avec une scoliose, la France veut t’mettre le dos au mur, putain
Caillasser les chtars, c’est ça qui nous occupe
Dans l’ghetto, y’a ceux qui lèvent des culs, et ceux qui lèvent des cubes
Fais pas la meuf zarbi, sahbi, on sait qu’tu suces des queues
Mes gars tirent sans réfléchir, ouais mais j’marche avec eux
Si il reste des bons grands, j’dirais
?
et Kossi
En période de pénurie, les dealers harcèlent les grossistes
225, moi j’changerais pas d’indicatif
J’écris des textes et des des thèmes que mes gars kiffent, j’suis rempli d’négatif
Y’a qu’une pute qui sait c’que c’est d’donner d’sa personne
Les aveugles s’isolent pas, ils voient déjà personne
Trop d’mecs font les canards : pour moi la gente masculine prend son coup d’grâce
Ta meuf doit faire ton taf, bouger en bande, et mettre des coups d’schlass
Si j’te dois j’paierai pas, haineux comme Vegeta
Mes frères réclament un vendetta, pour nos daronnes endettées
93, Seine-Saint-Denis dinguerie
À la sortie du périph’, les reufs ont peur d’s’faire épingler
J’crois qu’c’est l’illicite qu’a cagoulé nos vies
Tu me parles des Francs, j’te parle de Shyne, han, Wu-Tang, M.O.P
Tu veux vés-qui l’ramdam, nhar Sheitan en bécane
Si ta barrette est trop p’tite, reste plus qu’à blinder l’cellophane
J’ai l’choix entre percer, Bercy, braquage, perquise
Monter au casse-pipe ou m’faire descendre après un classique
Commerce triangulaire expliqué par des singes
Ou l’importance d’une vie expliquée par des flingues
Si la juge est baisée par un Noir, ma peine sera moins terrible
Dans l’Neuf-Trois y’a pas d’karting, juste des poursuites sur l’périph’
J’dérive, mes frères s’trimballent une tonne de remords
Certains marchent à demi-mort, s’noient dans la Smirnoff
Tu veux nous test, sois-en sûr qu’on va t’douiller
Parce que les grands qui nous conseillent, eux, sont totalement bourrés
J’dirais : même si Aaliyah est morte, nous on veut bouger aux Bahamas
On tire en l’air au Famas, mais tah les mecs du Hamas
Un poto écroué, une daronne s’est écroulée
Et ceux qui tentent de s’pendre au chtar t’en parlent la gorge nouée, yeah
J’ai pas la science infuse, mais j’aime les balles qui fusent
La vengeance : un plat qui s’mange froid, moi j’sors d’un centrifuge
Des nouvelles cartouches, c’sera pas pour l’imprimante
Oublié comme Savidan, j’parle d’la banlieue vu qu’ça vit dedans
J’vais pas t’faire d’fleur, fais l’fou et j’t’arrose
J’ai l’syndrome de Michael Jackson : j’veux pas ressembler au daron
J’veux pas ressembler au daron, j’veux pas ressembler au daron
J’ai l’syndrome de Michael Jackson : j’veux pas ressembler au daron
Pour t’què-n’ j’ai pas besoin d’Ryu, j’ai besoin d’seille-o
Nique les manifs, ouais : ça nique ma paire d’Feiyue
Des hors-la loi, quoi, quoi, là, ouais, c’est nous
93, on va pas t’sher-cla et s’cher-ca
Si on as un truc à t’dire, on viendra l’ché-cher’ dans ton tier-quar
Les colons fouettent l’histoire, donc j’rappe le dos nu
Même avec une scoliose, la France veut t’mettre le dos au mur, putain
Caillasser les chtars, c’est ça qui nous occupe
Dans l’ghetto, y’a ceux qui lèvent des culs, et ceux qui lèvent des cubes
Fais pas la meuf zarbi, sahbi, on sait qu’tu suces des queues
Mes gars tirent sans réfléchir, ouais mais j’marche avec eux
Si il reste des bons grands, j’dirais
?
et Kossi
En période de pénurie, les dealers harcèlent les grossistes
225, moi j’changerais pas d’indicatif
J’écris des textes et des des thèmes que mes gars kiffent, j’suis rempli d’négatif
Y’a qu’une pute qui sait c’que c’est d’donner d’sa personne
Les aveugles s’isolent pas, ils voient déjà personne
Trop d’mecs font les canards : pour moi la gente masculine prend son coup d’grâce
Ta meuf doit faire ton taf, bouger en bande, et mettre des coups d’schlass
Si j’te dois j’paierai pas, haineux comme Vegeta
Mes frères réclament un vendetta, pour nos daronnes endettées
93, Seine-Saint-Denis dinguerie
À la sortie du périph’, les reufs ont peur d’s’faire épingler
J’crois qu’c’est l’illicite qu’a cagoulé nos vies
Tu me parles des Francs, j’te parle de Shyne, han, Wu-Tang, M.O.P
Tu veux vés-qui l’ramdam, nhar Sheitan en bécane
Si ta barrette est trop p’tite, reste plus qu’à blinder l’cellophane
J’ai l’choix entre percer, Bercy, braquage, perquise
Monter au casse-pipe ou m’faire descendre après un classique
Commerce triangulaire expliqué par des singes
Ou l’importance d’une vie expliquée par des flingues
Si la juge est baisée par un Noir, ma peine sera moins terrible
Dans l’Neuf-Trois y’a pas d’karting, juste des poursuites sur l’périph’
J’dérive, mes frères s’trimballent une tonne de remords
Certains marchent à demi-mort, s’noient dans la Smirnoff
Tu veux nous test, sois-en sûr qu’on va t’douiller
Parce que les grands qui nous conseillent, eux, sont totalement bourrés
J’dirais : même si Aaliyah est morte, nous on veut bouger aux Bahamas
On tire en l’air au Famas, mais tah les mecs du Hamas
Un poto écroué, une daronne s’est écroulée
Et ceux qui tentent de s’pendre au chtar t’en parlent la gorge nouée, yeah
J’ai pas la science infuse, mais j’aime les balles qui fusent
La vengeance : un plat qui s’mange froid, moi j’sors d’un centrifuge
Des nouvelles cartouches, c’sera pas pour l’imprimante
Oublié comme Savidan, j’parle d’la banlieue vu qu’ça vit dedans
J’vais pas t’faire d’fleur, fais l’fou et j’t’arrose
J’ai l’syndrome de Michael Jackson : j’veux pas ressembler au daron
J’veux pas ressembler au daron, j’veux pas ressembler au daron
J’ai l’syndrome de Michael Jackson : j’veux pas ressembler au daron
«La symphonie des chargeurs», coup d’fusil à pompes funèbres
F.A.Baby…