Текст Hayce Lemsi – Ecorché Vif
Текст:
J’attendrai pas qu’tu prennes la confiance pour t’rappeler à l’ordre
J’ai pas attendu qu’on m’dise d’faire du rap pour rapper à mort
Alors ferme ta gueule et écoute-moi : j’fais pas mon mea culpa
Les larmes les plus amères sont celles qui n’coulent pas
#Ali la pointe, #kunta (écoute-moi)
J’suis d’la vieille école, j’suis un ancien, j’ai été en chien (ouais), endommagé par les temps plein (ouais) d’une vie sans lendemain
Joue les nobles avec ton pognon, j’marchais avec un tard-pé, t’savais pas épeler ton prénom
T’sais pas combien de larmes de sang j’ai chialé pour arriver là (t’sais pas)
Aujourd’hui, j’peux plus marcher de Bastille à la French riviera (t’sais pas)
S’mentir à soi-même, c’est mentir aux autres
Ça fait des années qu’j’fais comme si tout allait bien mais c’est faux (c’est faux)
C’est bien d’savoir d’où tu viens mais est-ce que tu sais où tu vas ? (hein ?)
C’que tu veux, t’es comme aveuglé (hein ?), tu n’sais plus vraiment c’que tu vois
Mal dans ma peau depuis la naissance (ouais), les sens en convalescence (ouais)
Chaque jour, j’renais de mes cendres (ouais), chaque jour est une renaissance (ouais)
À qui tu parles mal ? J’ai pas besoin d’porter c’foutu pare-balles (nan)
P’tit prince de Paname, j’suis au courant d’tout comme le barman
Allez, baise ta mère, casse un tour, c’est pas d’la moula, c’est d’la merde
Faire croquer sur quarante-cinq tours ? Plutôt courir à ma perte (ouais)
Mourir comme Amaru Shakur ou bien pourrir à la retraite
Voilà pourquoi j’vis chaque jour comme le dernier qu’j’fais la fête
Frérot, tu n’as rien à m’envier (rien), j’suis constamment en dépression (rien)
J’suis tellement bre-som (rien), c’est dur d’assumer toute cette pression
J’ai trop la pression (j’ai trop la pression), j’ai trop l’impression qu’tu vas m’trahir
J’ai trop d’mal à te dire «Je t’aime» et j’prend du plaisir à t’haïr (fils de pute)
J’remplis la potion, Opinel 12 dans l’bombardier (ah)
J’viens d’en bas, les Misérables ont plus de valeur qu’les Thénardier
Peine à deux chiffres dans la cave (ah), j’effectue mouvements macabres (ah)
Persuadé qu’tout ira mal comme Rougont-Macquart
Ils m’ont pris pour un macaque (fils de pute), j’sors un album de bâtard (ah)
J’suis d’la vieille école, j’suis un ancien, j’ai été en chien (ouais), endommagé par les temps plein (ouais) d’une vie sans lendemain
Joue les nobles avec ton pognon, j’marchais avec un tard-pé, t’savais pas épeler ton prénom
T’sais pas combien de larmes de sang j’ai chialé pour arriver là (t’sais pas)
Aujourd’hui, j’peux plus marcher de Bastille à la French riviera (t’sais pas)
S’mentir à soi-même, c’est mentir aux autres
Ça fait des années qu’j’fais comme si tout allait bien mais c’est faux (c’est faux)
C’est bien d’savoir d’où tu viens mais est-ce que tu sais où tu vas ? (hein ?)
C’que tu veux, t’es comme aveuglé (hein ?), tu n’sais plus vraiment c’que tu vois
Mal dans ma peau depuis la naissance (ouais), les sens en convalescence (ouais)
Chaque jour, j’renais de mes cendres (ouais), chaque jour est une renaissance (ouais)
À qui tu parles mal ? J’ai pas besoin d’porter c’foutu pare-balles (nan)
P’tit prince de Paname, j’suis au courant d’tout comme le barman
Allez, baise ta mère, casse un tour, c’est pas d’la moula, c’est d’la merde
Faire croquer sur quarante-cinq tours ? Plutôt courir à ma perte (ouais)
Mourir comme Amaru Shakur ou bien pourrir à la retraite
Voilà pourquoi j’vis chaque jour comme le dernier qu’j’fais la fête
Frérot, tu n’as rien à m’envier (rien), j’suis constamment en dépression (rien)
J’suis tellement bre-som (rien), c’est dur d’assumer toute cette pression
J’ai trop la pression (j’ai trop la pression), j’ai trop l’impression qu’tu vas m’trahir
J’ai trop d’mal à te dire «Je t’aime» et j’prend du plaisir à t’haïr (fils de pute)
J’remplis la potion, Opinel 12 dans l’bombardier (ah)
J’viens d’en bas, les Misérables ont plus de valeur qu’les Thénardier
Peine à deux chiffres dans la cave (ah), j’effectue mouvements macabres (ah)
Persuadé qu’tout ira mal comme Rougont-Macquart
Ils m’ont pris pour un macaque (fils de pute), j’sors un album de bâtard (ah)
Attendu comme la grossesse de ma dame
Perdu dans le noir, noir (pah-pah-pah)
Et j’ai remplis le barillet (pah-pah-pah), yah
Et j’en ai trop vu pour mon âge (pah-pah-pah), yah
Quelques dollars éparpillés (pah, quelques livres), l’or
Perdu dans le noir, noir (pah-pah-pah)
Et j’ai remplis le barillet (pah-pah-pah), yah
Et j’en ai trop vu pour mon âge (pah-pah-pah), yah
Quelques dollars éparpillés (pah, quelques livres), l’or (pah-pah-pah-pah-pah)