Текст Lomepal – Les Loups
Текст:
Mon pauvre ami…
Vous êtes la victime de l’esprit querelleur de vos contemporains
On vous cherche… On vous provoque… On vous persécute…
Une sorte de fatalité…
Lomepal:
Y’en a qui claquent des dents, là serait temps de réagir
On s’en sort pas qu’en maltraitant des assiettes en céramique
Il vaut mieux naviguer sous l’eau
Quand on peut pas lire des journaux
Faits par des tâches laissant des casse-têtes dans les articles
On nous provoque, faut assumer les conséquences
C’est déjà trop tard, on peut plus annuler cette bombe géante
C’est l’temps des coups de sabots agressifs
Y’a la même administration
Que dans Les Douze Travaux d’Astérix
J’veux unifier les habitants qui ne cessent de supplier, se justifier
Parce que ça fait jubiler des assistantes sociales
Ne cherchant qu’à humilier, c’est fatiguant
Faudrait les punir et les supprimer très rapidement, normal
C’est qu’une idée mais on pense surement tous pareil
On vit comme d’hab cachant d’étranges substances sous la veste
L’État se branle durant toute l’année
Mais en se butant on perd de l’endurance
Laissant les grands truands nous la mettre
Caballero:
Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd
Laissez-nous mordre, les loups sortent quand le Soleil se couche
Censés s’buter on est tous oppressés ou tordus
Tous oppressés ou tordus…
Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd
Censés s’buter, on est tous oppressés ou tordus
La nuit, souvent réfugiés dans des sous-sols sans être au net le jour
Lomepal:
Y’a plus d’remords près du rebord, la provoc’ sert de sauce
Des trucs ressortent, on nous reproche d’être un bordel de fauves
Mais c’est que des sornettes de pauvres
Allez, m’parlez pas de vrai justice
J’ai p’têt la clé de la réussite mais les portes restent closes
Y’en a même qui s’bouffent le ventre avec des dents de loup
Mais c’est pas pour une coupe de champ’
Dans une chambre double
Nan, ici, j’pense que tout est fait pour nous rendre fous
Pour finir en dessous, seuls, sans recours à s’pendre le cou
Le caprice a eu carte blanche, on n’y voit rien
J’serai pas le bon type moyen
Concitoyen de la ville la plus crade de France
J’attends la résistance, et vite qu’on s’empare des finances
A croire que y’a pas qu’quatre chemins pour se rendre à l’évidence
J’reste saoulé, et j’fais qu’douter
Seul comme un mec bourré, pète-couille et vulgaire
Merde, on a l’air bêtes, cloués sur Terre à patienter près des cons
Mais avant d’péter les plombs on était p’t’être tous des Lumières
Caballero:
Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd
Laissez-nous mordre, les loups sortent quand le Soleil se couche
Censés s’buter on est tous oppressés ou tordus
Tous oppressés ou tordus…
Les sous-ordres déboussolent dans ce sommeil de sourd
Laissez-nous mordre, les loups sortent quand le Soleil se couche
Censés s’buter, on est tous oppressés ou tordus
La nuit, souvent réfugiés dans des sous-sols sans être au net le jour