Текст Rohff – Je Pousse Mon Dernier Cri
Текст:
C’est que du lourd
Encore un gros son poto
Ichya, R.O.H.2.F
Faut que tu respectes man
Viens pas test man
Je met tout le monde d’accord, les indé’ , les majors
Hardcore, le point serré, moi, je libère que le majeur
Comme 2Pac, seul contre tous, je nargue le danger
Emmerde celui qu’est pas content, je profite du don que j’ai
Ma côte de popularité pourra en aucun cas irrité
Ma personnalité, ce que je graille je l’ai mérité
Ya trop de chose qui nous perd
Y a que dans le dîn qu’on s’y retrouve et personne nous fera avaler de la merde
J’ai déjà perdu trop de gens, trop de temps donc trop de billet
Ces jours à miserer dans la boue, j’ai pas oublié
Ma vie est moche, mais les souvenirs lui donne du charme
Quand je montais la passerelle de l’avion saluant ma grand mère en larme
J’assume ma destinée, déterminé, né pour dominer
Numero uno même quand on m’a pas nominé
J’pousse mon dernier cri, à travers mes écrits *J’pousse mon dernier cri*
L’impact de mon flow, mes rimes, nôtre état d’esprit
Ce que tu ressens, sous le poids de mon son c’est mon sang *Nôtre état d’esprit*
Ma force, mon souffle, c’est le cœur et ça se sent
Je viens monter le buzz, faut que tu me fasses de la pub
Sur un son qui pu le tube, j’suis pas de ceux qu’on entube
T’inquiète, tant que j’serais là, wAllah y aura du bon son
Naturellement, je vais tout niquer sans baisser mon caleçon
Je me remet assez en question, y a de la réflexion
Un paquet d’expression, dans nos conversation
Les grosse poutures, les michtoneuses au grosse ceinture
Même les femelles se prennent des claques sur ce qu’on raconte
Elles parlent de moi tu fais le jaloux car je suis le mâle qui l’a dompte
Depuis 5.9.1, nos timps prennent plus la pilule
J’attends plus que mon âme-sœur pour inonder ses ovules
Parfois, je sais pas ce qui me prend, mon instinct me surprend
Je suis comme un chien, parle jamais mais je comprends
Les vrais se reconnaissent, sont une espèce en voie de disparition
L’image du rap est plus crédible depuis mon apparition
J’pousse mon dernier cri, à travers mes écrits *J’pousse mon dernier cri*
L’impact de mon flow, mes rimes, nôtre état d’esprit
Ce que tu ressens, sous le poids de mon son c’est mon sang *Nôtre état d’esprit*
Ma force, mon souffle, c’est le cœur et ça se sent
Plus de tunes, plus de poids, plus de pouvoir
Toujours autant de charisme, sur le bitume, je m’en bat les couilles d’être une star
Je rappe la rage de mes négros, la rage de mes bicos
La rage du ghetto, un bléme-pro un coup de bico
Wesh poto, c’est Rohff, le narrateur de la rue
De la gamberge, du bagage, on change pas, on évolue
Je me force d’être bien, je force pas l’amour
Force pas les miens, force pas le regard quand tu croises le miens
Toujours affronter les êtres, se faire accepter par les actes
Mes valeurs ont la mémoire de mes ancêtres
Bien que, j’aime pas les embrouilles mais les embrouilles me connaissent
Rien à prouver, on distinguait mes couilles avant que je naisse
Je suis pas un voyou, je suis un vaillant
Mentor de la jeunesse, je prône un rap cru bienveillant
Les ghetto youth progressent pendant que les bâtards régressent
À tout les beats, je vous agresse et tout vos flows, j’les dresse
J’pousse mon dernier cri, à travers mes écrits *J’pousse mon dernier cri*
L’impact de mon flow, mes rimes, nôtre état d’esprit
Ce que tu ressens, sous le poids de mon son c’est mon sang *Nôtre état d’esprit*
Ma force, mon souffle, c’est le cœur et ça se sent
Est-ce que tu me ressens
Gros son lourd
Rien à voir avec les MC’s balourds
Laisse-les sucer entre eux, ils leur faut peu
Ouai gros, nôtres état esprit, mentalité à l’ancienne
J’habite à Vitry-sur-Haine
Tu veux savoir qui je suis, regarde avec qui je traîne
Qui je crains, on se distingue
Ma voix, les MC’s rappe au-dessus de leurs couilles et se disent dingues
Sincère poto, pas là pour faire semblant