Текст Rohff – Le Coeur D’un Homme
Текст:
Il y a trop de sensations à gérer ici, l’amour, la haine … Pour certains les drogues, l’alcool … Hin ! Les fantômes du passé nous traquent. Ewa
Pourquoi ai-je si mal au ventre, moi qui m’vante d’être un bonhomme dur
Pourquoi ai-je si froid quand il vente, quelque chose me torture
Me bouffe l’oxygène, plus d’appétit quand j’déjeune
J’sais plus où m’mettre, dois-je admettre être affaibli ?
Caché entre les lignes de ma lettre
Perçois mon mal-être, en cette lettre
Douleur atroce, j’perds mes forces, j’craque tellement j’suis croc
En train d’craquer, j’tire une tête de croque-mort
L’amour m’a drogué, le cœur pourtant anesthésié
Elle a trouvé le nerf vivant
Overdosé mon cœur un mort vivant
J’voulais faire bien pour changer
M’éloigné des dangers, comme un voyou se ranger
Rongé par l’passé, triste vécu
J’révais d’affection, d’protection, pour m’sentir en sécu
Blasé par la routine qui m’use, blasé par les boites de nuits
Toujours assis quand tu t’amuses, fatigué des mauvaises news
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
J’moisis pas en prison, mais j’cohabite avec la poisse
Mon passé braque mon présent, le futur bloqué dans l’sas
Ressasse les souvenirs, les bons les mauvais délires
Recyclé en B.E.P car j’ressemble à mon avenir
Pendant qu’j’explose de rire tu peux compter mes chicots
On m’a dit reste comme ça, c’est toi c’est l’charme du ghetto
Si j’avais pas vécu ici j’aurais été quelqu’un d’autre
Si j’avais pas manqué de mon père j’aurais fais beaucoup moins d’fautes
Mais avec des si, on coupe du bois crois-moi
J’ai d’quoi raser l’amazonie, moi, Mkouboi Housni
Chacun sa notion d’la vie, ses passages à vide
Sa maturité, ses intérêts, ses poches vides
Que Dieu nous guide
Entre croyant, et non-croyant
Comme un débat entre voyant et non-voyant
Mais voyons, toutes les té-ci veulent s’en sortir comme Samy Nasri
Marqué à vie, j’compte plus les rayures sur ma carrosserie
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue pas l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
C’est dur comme donner d’l’amour, recevoir peu en échange
Ou qu’on consomme ton humour, et qu’ta tristesse dérange
Manque de respect, peu d’gentillesse sauf quand ça t’arrange
C’qui m’rend si nerveux, étrange, c’est tous ces soucis qui t’rongent
Et qui t’plonge dans la solitude, malgré la foule
Tout le monde pense qu’à sa gueule, et ton besoin s’fait refoule
Tu t’replies sur toi même, et c’qui m’fout les boules
C’est que tu m’fous la haine, alors qu’j’aspire à être cool
J’suis dans l’sous-sol de l’amertume, mais tu me captes pas
Ne jactes pas sur ma vie, c’est qu’tu m’acceptes pas comme je suis
J’reviens d’loin, épargne-moi tes caprices
Il y a du mérite, j’tiens la route avec mes deux pieds motrices
Grâce à Dieu, j’surmonte les épreuves, ma preuve de science est de preuve
Salam aux frères qui font des rappels
Car ils font tous c’qu’ils peuvent pour t’sauver, mes idées sont neuves
Quand j’vais crever, mes œuvres, mes musiques seront veuves
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie, quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Les fantômes du passé me traquent comme un schlag, sorti de cure, à qui on propose du crack, faut pas qu’j’craque
Remue par l’couteau dans la plaie quand j’perds tout mon sang
Le regard perçant, quand tu m’vois tu l’ressens
Tu l’ressens. Façon d’marcher, dégaine, façon d’regarder, on s’reconnait hein. Les fantômes du passé te hantent, te traquent comme Pacman. Cavale, cavale, il y a les gloutons derrière