Lyrics Aladin 135 – Intro
Text:
A.L.A.D.I.N. 135
Aladin à 100%, fort comme personne
Sors les belles sommes, car la jeunesse persiste
On veut le flouze, les gazelles, baiser la fille du maire
Et pourquoi pas figurer dans les magazines
Tu veux la rime du siècle ? Il te faudra l’assiduité
Pour ma part, m’assagir pour augmenter l’habilité
Aaah !
De mon stylo qui, à chaque nuit, déclenche l’alarme
Loin des physios, de la blanche, et de la femme
Viens voir mon texte, mec, y’a que des images ici
J’entends «Majesté, cet homme est un magicien»
Écorché vif, je me défends
Et entre dans l’entre des grands, débordé j’t’use
Mais je porte mes rimes jusqu’au zénith pour l’underground
Je rentre dedans et tends mes crimes
Tu sais, quand j’écris, c’est dans les lignes
Que je prends mes vices, les range ensuite
J’entendais dire que j’étais mort
Êtes-vous fous ? Ou avez-vous simplement peur ?
À part si t’es menteur, tu peux dire que je suis fort comme pas permis
J’ai mis des années à me rendre compte que j’étais fait pour ça
Pour quoi ? Pour s’égarer et conquérir tout le rap
Mon ressenti est triste
Ma feuille est noire, et mon teushi s’effrite, à la vitesse d’une étoile
Tu veux la rime du siècle ? Il te faudra l’assiduité
Pour ma part, m’assagir pour augmenter l’habilité
Aaah !
De mon stylo qui, à chaque nuit, déclenche l’alarme
Loin des physios, de la blanche, et de la femme
Viens voir mon texte, mec, y’a que des images ici
J’entends «Majesté, cet homme est un magicien»
Écorché vif, je me défends
Et entre dans l’entre des grands, débordé j’t’use
Mais je porte mes rimes jusqu’au zénith pour l’underground
Je rentre dedans et tends mes crimes
Tu sais, quand j’écris, c’est dans les lignes
Que je prends mes vices, les range ensuite
J’entendais dire que j’étais mort
Êtes-vous fous ? Ou avez-vous simplement peur ?
À part si t’es menteur, tu peux dire que je suis fort comme pas permis
J’ai mis des années à me rendre compte que j’étais fait pour ça
Pour quoi ? Pour s’égarer et conquérir tout le rap
Mon ressenti est triste
Ma feuille est noire, et mon teushi s’effrite, à la vitesse d’une étoile
J’ai vu des potes, gros, devenir des putes car y’a pas de pitié
Ah, chhh, car y’a pas de pitié
J’ai vu des potes, gros, devenir des putes car y’a pas de pitié
Ah, chhh, car y’a pas de pitié
La route est longue, et les chutes sont brutales
Je vais m’apprêter à vous montrer ce que c’est du rap
