Lyrics Aladin 135 – J’ecris Ma Vie
Text:
J’veux m’en aller loin d’ici
Faire des ceaux-mor, ?
Nique les semeurs et les putains qui se piquent
17 piges, moi qui pensais que l’amitié c’était fort
Ça m’apprendra personne n’est mort
Et je braque, sur toi et sur les autres
Le monde est faux, à qui la faute
J’ai du réseau mais plus jamais j’te capte
J’vais avancer à l’ancienne
On n’aurait pas pensé, qu’une meuf te mettrait à l’envers
Moi j’te vois danser sans gène, tu kickais mieux sans elle
Et tu m’fais reup, tu m’fais reup, la nuit j’te vois t’en mettre dans l’zen
Faut pas traîner avec ces bouffons pas très nets, gros
Grâce à ta meuf t’es interné, mais qui était là quand le paternel criait ?
Qui était là quand t’as vie tournait sur une roue cassé ?
J’ai tout à faire, tout à perdre, mais moi j’suis venu tout frapper
J’vais y arriver gros, j’ai les crocs
Même si j’finis la rime amère , la vie d’ma mère que j’baise ton électro
J’écris ma vie, mais la vie ne m’écrit pas
Ne médite pas gros, on a des âmes insaisissables
J’écris ma vie, mais la vie ne m’écrit pas
Ne médite pas gros, on a des âmes insaisissables
Comme l’ordinateur d’un branleur, j’ai un historique compromettant
Les p’tites coquines sont trop démentes, elles aiment les dièses érotiques ma gueule
Ça fait longtemps que la prose me cause, me cogne
Après des grosses doses de rhum
Insolent, j’dis à ma go d’descendre
Elle aime ce coté hardcore, maléfique et mystérieux
A défi j’dis d’faire mieux, gentil mais exigeant d’abord
On a des bords de secours
Alors ta gueule, et prend ma bite (en panne ?)
J’arrive en shlag et j’repars avec ta go qu’j’aborde
Pendant qu’ton cas, toute ma team s’en charge
Gars j’roule à 1000 sans casque, une main sur le volant, une main sur l’ton-car
Et pour m’niquer toutes ses putains s’accordent
Papa naquit, merveille créa merveille
Puis s’barre en sachant qu’la mère veille
Fiston fera la même donc j’dis rien à Papa ma belle
Ma belle pose pas d’questions auxquelles j’n’ai pas d’réponses
Impossible que mes gars s’dénombrent car notre humeur n’est jamais la même
J’ai tafé la veille un texte plus long que la Bible
Et j’vois que la madre s’alerte mais elle dit rien, je suis l’garçon d’sa vie
J’écris ma vie, mais la vie ne m’écrit pas
Ne médite pas gros, on a des âmes insaisissables
J’écris ma vie, mais la vie ne m’écrit pas
Ne médite pas gros, on a des âmes insaisissables
7.5.0.1.3, résidence élitiste
On vit dans l’précipice
Et on esquinte les gos d’un soir
Quand j’suis à la maison, je n’ai qu’les murs en guise de S.O.S
Le bédo sait, que si j’perds, je perds la raison
Sitôt malade et sitôt j’bénis la guérison
Et si j’évite la décision c’est que cette balade est loin d’la paix fiston
Je veux le feu de Dieu, ne parlons pas d’un mec en qui j’crois pas
Je vis roi gars ça m’suffit pour être heureux vieux
Foutu bonheur, parlons-en j’me l’approprie mais j’le connais pas
Il m’dit «J’ai pas ton temps, t’es pas poli»
Donc je fais des gros dégâts, faux départ
J’en ai marre, j’prends des droites
Et j’constate que ma vie n’est pas torride
J’me dévalorise pas tu sais
Je regarde autour et ça fais 606 ans, réflexion grandissante
T’inquiète pour moi, j’oublie pas d’m’amuser
